Dissection d'une mort :
Parce qu'il joue comme un manche et qu'il lorgne même
un peu trop sur son équivalent de La Maison De
L'Horreur, Matthew
Lillard doit être puni. Un fantôme va
se charger de son cas. C'est en fait très vite
expédié.
Avec ce dédale à la con, forcément,
on se paume. Notre future victime se retrouve avec le
père de famille qui, lui, est protégé
par le scénario et qui le montre très
bien. Se retrouvant enfermé par on ne sait quelle
magie dans un pièce, Dennis doit se battre contre
un ennemi qu'il ne voit. Il a paumé les lunettes
magiques du film et donc son pote le voit se faire un
peu malmené. Après une baston molle mais
à la caméra mouvementée, le gros
méchant se débarrasse du gros abruti en
le brisant littéralement contre une porte en
verre. Forcément, le verre étant plus
solide que Dennis, c'est la porte qui gagne. Qu'on soit
rassuré, il reviendra ensuite mais sous la forme
d'un ectoplasme. Si c'est pas beau la vie !
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