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Deep Impact

Réalisateur : Mimi Leder
Avec : Robert Duvall, Téa Leoni, Elijah Wood, Morgan Freeman, Kurtwood Smith
Durée approximative : 2H00
1998
Genre : Science-fiction
Degré de violence : Il y a du mort
Degré de gore : Rien de ce côté-ci

3 raisons de voir le film :

1) Apporte la dimension psychologique qui manquait à Armageddon.
2) Certains acteurs sont vraiment attachants, Téa Leoni en tête.
3) Le scénario évite habillement les facilités et surprend même grâce à de nombreux rebondissements.

3 raisons de ne pas le voir :

1) Les effets spéciaux ne sont pas toujours au meilleur de leur forme.
2) Quelques longueurs
3) Bruce Willis aurait sauvé le reste de l'équipage, lui...




Dissection d'une mort :

Et deux pour le prix d'un ! A côté de ce que vont se prendre deux des meilleurs acteurs du film dans les genoux, la déferlante du siècle de Point Break passe tout juste pour une marée basse à Gruissan Plage. Un bout de caillou venu d'on ne sait pas trop où s'est apparemment mis une énorme cuite à l'alcool de quetsche et se décide tout seul à faire du rentre-dedans avec la belle bleue à l'autre bout de la galaxie. Force gravitationnelle + vitesse = Gros dégâts ! De plus, comme l'impact a lieu en pleine mer, la conséquence est doublement moins sympathique pour les habitants alentours. Une énorme vague déboule sur les plages et balaie, littéralement, tout ce qu'elle croise. Il y a deux petites stations off-shore en amuse-bouche puis vient le duo d'acteurs précédemment cité. Juste après le mea culpa, les larmes et les excuses qui condamnent tout le monde, le point final se manifeste enfin. Le film catastrophe prend alors tout son sens et dame nature fait son œuvre. Et attention l'œuvre ! La vague ne s'arrêtera pas ici mais ceci est une autre histoire.


Image par image :

Une coïncidence trop grosse pour simplement révéler de l'inadvertance existe entre ce film et le gros carton similaire de Roland Emmerich sorti en 2004. Dans les deux films, un raz de marée rase (c'est que les raz de marée font le mieux, en général) New York. Et, de nouveau dans les deux films, la Statue de la liberté se fait embarquer (mais dans Le Jour D'Après, elle résiste quand même). Et, encore dans les deux film, le spectateur peut voir une vue aérienne de l'eau s'engouffrant dans les rues de la ville. Certains plans de l'inondation se ressemblent en bien des points mais aucune vraie affirmation de la part de Roland Emmerich ne permet de faire un lien direct entre les deux films. L'idéal est donc de voir les deux films pour mieux s'en rendre compte.


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