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[Culture manga] 6 raisons de regarder Natsu no Arashi!

Article posté le 19/08/15 à 22:11

Bienvenue dans ce nouvel article putaclique sur la culture manga, aujourd'hui, six raisons de regarder l'animé Natsu no Arashi! :



Citation :


Synopsis de Wikipedia :

Hajime Yasaka, un jeune garçon de 13 ans, doit passer ses vacances d'été chez son grand-père. S'étant perdu, il entre dans un café pour demander son chemin. Il y rencontre Arashi, une belle jeune fille de 16 ans qui travaille dans le café. Après avoir essayé de la protéger d'un homme qui affirme avoir été engagé par sa famille pour la ramener de force, Hajime s'enfuit avec Arashi. Depuis, Arashi vit avec lui chez son grand-père. Hajime se rend rapidement compte que sa nouvelle amie est loin d'être une fille ordinaire, elle possède des pouvoirs mystérieux et semble venir d'un autre temps.




1. Par le créateur de School Rumble :

School Rumble était une comédie romantique très drôle, notamment grâce à Harima, ce lycéen bad boy mais maladroit dont le cœur ne bât que pour Tenma. Amours à sens uniques, quiproquos et multiples références parodiques ont fait le succès de ce manga/animé. Jin Kobayashi remit le couvert pour Natsu no Arashi!. Cette fois, moins de romance, moins de school life (l'action se passe dans un café en été), mais plus de surnaturel avec ses fantômes et ses voyages dans le temps. Le résultat est détonnant ! (jeu de mot avec le titre)


2. Réalisé par Shaft :

Shaft est passé maître des comédies à l'humour absurde avec ses premiers titres comme Pani Poni Dash! et Sayonara Zetsubō Sensei. Bien qu'un poil timide pour cette adaptation, on ne peut qu'apprécier son expérience qui rend la chose très réussie.


3. Il y a la voix de Chiaki Omigawa :

Mais si ! La voix de Maka Albarn dans Soul Eater ,ou encore Hitori dans Soredemo Machi wa Mawatteiru (de Shaft encore) ou bien Phi dans Virtue's Last Reward. J'adore cette voix nazillarde, et chaque fois que j'entends cette voix c'est instant win dans mon cœur Smiley : lag11.png.


4. Un premier épisode original :

Le premier épisode nous met directement dans le bain sans nous présenter aucun personnage, il est en plus très fun en jouant sur les voyages dans le temps pour créer des situations comiques. Cet épisode est assez marquant pour un premier épisode. En fait, il s'agit du dernier épisode : la chronologie normale avec la présentation des personnages commencent à l'épisode 2.


5. Les lectures de Yayoi Fushimi :

Chaque épisode de la première saison se termine par Yayoi qui résume sa lecture actuelle à Kanako. Son résumé est assez drôle car elle ajoute un ton très sérieux et très pompeux à des lectures qui ne se réclament pas d'un tel acabit. Ce résumé se termine toujours par une citation de l'œuvre qui ne laisse plus planer aucun doute quant à ce dont elle parlait. Regardez donc ce résumé à l'épisode 2 , et vous reconnaîtrez sûrement le résumé de Doraemon.


6. Un opening nostalgique :

L'opening de la première saison de Natsu no Arashi! est vraiment très bizarre avec les protagonistes qui prennent des poses.
C'est en fait un hommage aux viellies pochettes de vyniles. Regardez la comparaison !


J'espère vous avoir donné envie de regarder Natsu no Arashi!. Je trouve que cet animé est un peu injustement « underated » comme on dit dans le domaine, alors je lui rends un peu de justice Smiley : lag11.png. L'adaptation en animé a été diffusée en 2 saisons en 2009 et est à ma connaissance introuvable en France que ce soit en manga ou en animé, mais on peut le trouver dans le plus japonisant félin des trackers bittorents.



Message édité 11 fois. Dernière édition par Jonath lé là le 20/08/15 à 14:42.


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[Culture manga] Miagete goran

Article posté le 07/08/15 à 01:56

Si vous êtes des lecteurs assidus et avec une bonne mémoire, vous savez que j'ai trois articles en préparation sur la culture manga (ceux qui se rappellent des sujets, bravo). Cependant, j'ai pris des sujets ambitieux, et rien que le premier, ça fait déjà plus d'un an que je planche dessus (et après 60h d'écriture, j'en suis à une petite moitié). J'ai donc décidé de parler de faire des articles plus light en attendant, car y'a quand même plein d'autres choses je voudrais parler.

L'article se nomme Miagete Goran, c'est un raccourci pour la chanson « Miagete goran yoru no hoshi wo » (見上げてごらん夜の星を) qu'on pourrait traduire maladroitement en français par « Regarde les étoiles de la nuit ». Cette chanson est un hit du début des années 60, chantée par le célèbre Kyu Sakamoto (on peut entendre son plus grand hit « Ue wo muite arukō » dans « La colline aux coquelicots » du studio Ghibli). Les paroles se composent de deux couplets presque identiques, suivi d'un petit intermède, puis l'on répète un des deux couplets, ou les deux, ou deux fois l'un, c'est un peu tout le monde fait ce qu'il veut :



Citation :


en japonais :

(1)
見上げてごらん夜の星を
小さな星の小さな光が
ささやかな幸せをうたってる

(2)
見上げてごらん夜の星を
ボクらの用に名もない星が
ささやかな幸せをいのってる

手をつなごうボクと
おいかけよう夢を
二人なら苦しくなんかないさ






Citation :


en romaji :

(1)
Miagete goran yoru no hoshi wo
Chiisana hoshi no chiisana hikari ga
Sasayaka na shiawase wo utatteru

(2)
Miagete goran yoru no hoshi wo
bokura no yō ni na mo nai hoshi ga
Sasayaka na shiawase wo inotteru

Te wo tsunagō boku to
Oikakeyō yume wo
Futari nara
Kurushiku nanka nai sa






Citation :


traduction trouvée sur Internet qui me semble pas trop pourrie :

(1)
Regarde les étoiles de la nuit
La petite lumière d'une petite étoile
Chante d'un bonheur modeste

(2)
Regarde les étoiles de la nuit
Comme nous, une étoile sans nom
Prie pour un bonheur modeste

Tenons-nous la main
Poursuivons nos rêves
Si nous sommes ensemble
Ce ne sera pas quelque chose de difficile




C'est une chanson toute simple, mais avec beaucoup d'émotion. Elle dépeint une situation assez triste mais appelle à l'espoir d'un bonheur simple.

Voici la chanson telle que l'a chantée Kyu Sakamoto lors du NHK Kōhaku Uta Gassen (NHK紅白歌合戦), la plus célèbre des émissions musicales du Japon qui se déroule chaque veille du nouvel an, de 1963 :

https://www.youtube.com/watch?v=9_hZ-zdTFk8

Cette chanson a connu un nombre incroyable de reprises (plusieurs dizaines). Moi je l'ai découvert via l'ending de l'animé Futatsu no SPICA en 2003, chantée par le groupe BEGIN (je vous conseille aussi l'opening VENUS SAY chantée par le groupe BUZY ).

Personnellement, j'ai adoré l'animé de Futatsu no SPICA (d'ailleurs Thibault, ça devrait te plaire si tu l'as pas vu). Cet animé est une adaptation d'un manga du même nom du début des années 2000 (qui est en cours de parution en France sous le nom « Les deux Spica » ou plus simplement « Spica² » aux éditions « Clair de lune »). Ce dernier a même été adapté en drama en 2009.

Pour faire court, Futatsu no Spica raconte l'histoire d'étudiants astronautes qui tentent de réaliser leurs rêves d'aller dans l'espace. Pour donner un peu plus de contexte, cela se passe dans le Japon d'un futur proche, ou l'équivalent de la JAXA (NASA japonaise) a pour programme d'envoyer des hommes (au sens large) dans l'espace. Malheureusement, en 2010, le premier vol d'essai avec des astronautes, nom de code « Lion », se crashe en pleine ville et met un peu le frein aux ambitions spatiales nippones. Cependant en 2014, le gouvernement décide d'ouvrir sa première école d'astronautes et prépare un vol pour 2027. L'action du manga débute en 2024, lorsque nos protagonistes se rencontrent en entrant dans cette école d'astronautes. Et cette promotion est spéciale car l'un d'eux sera sélectionné pour le vol de 2027…. Enfin, l'écho de la catastrophe de 2010 résonnera toujours en toile de fond tout au long de l'histoire.
C'est un récit très poignant (et assez triste) où les protagonistes vont se lier d'amitié tout en cherchant à réaliser leur rêve d'approcher les étoiles. C'est donc assez logiquement que l'ending est une reprise de « Miagete goran yoru no hoshi wo » :

https://www.youtube.com/watch?v=15QqLJfYg2k

La seconde fois où j'ai entendu parler de cette chanson, c'est après la catastrophe de Fukushima, où les chansons de Kyu Sakamoto, dont « Miagete goran yoru no hoshi wo », toujours pleines d'espoirs face à l'adversité, se révélèrent un premier remède au choc de la catastrophe.

Enfin, dernièrement j'ai entendu cette chanson dans le dixième épisode de la premières saison de Chūnibyō demo Koi ga Shitai! (中二病でも恋がしたい!). C'est un moment important, où Rikka essaie de faire le deuil de son père, et décide d'abandonner sa condition de chūnibyō et de ne plus vivre dans ses illusions, ce qu'elle manifeste en chantant « Miagete goran yoru no hoshi wo », la chanson péférée de son défunt père, et en enlevant son cache-œil et sa lentille de contact lors de la fête de son école (mais plus tard, on verra que ce n'était pas une bonne idée qu'elle abandonne son chūnibyō). Là aussi, c'est un moment plein d'émotion, la chanson manifeste encore sons désir d'un futur meilleur malgré la tristesse :

https://www.youtube.com/watch?v=DvVH32NtFaU (désolé la vidéo est déguelasse)

Bref, c'est une chanson qu'on retrouve souvent dans la culture nippone et par extension dans la culture manga. Personnellement, j'adore cette chanson, j'aime sa simplicité, j'aime sa tristesse avec cet espoir qui pointe. C'est une chanson qui serre le cœur mais qui fait du bien. Et vous, que pensez-vous de cette chanson ?



Message édité 4 fois. Dernière édition par Jonath lé là le 07/08/15 à 02:01.


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[Culture manga] Les Tsundere

Article posté le 10/06/13 à 00:20

Voilà une petite présentation sur un terme des terme qu'on rencontre souvent en parlant de mangas ou de japanimation. J'essaierai par la suite de faire des articles sur d'autres termes bien connus (et pourquoi pas en faire un lexique à la fin). Mais pour l'instant concentrons-nous sur le terme du jour.

Définition :

Tsundere (ツンデレ) désigne un trait de caractère. Un personnage qui possède ce trait de caractère peut varier d'un état tsun tsun (ツンツン) à un état dere dere (デレデレ).

Le côté tsun tsun est marqué par la froideure et le dégoût du personnage envers les autres (pouvant aller jusqu'à la violence).
Le côté dere dere est l'inverse, le personnage montre de l'affection et de la douceur envers les autres.

Ces changements de personnalités sont généralement brusques et causés par un choc émotif.

L'usage veut qu'on dénomine les personnages ayant ce trait de caractère directement par « tsundere ».

Image
Les différentes expressions d'une tsundere, ici Rin Tōsaka du visual novel Fate/stay night.

Psychologie :

Les tsundere sont majoritairement des personnages forts avec beaucoup de détermination. S'ils sont bien souvent accomplis dans plusieurs domaines, ils peuvent souffir de leur côté tsuntsun qui devient un handicap social. Ainsi les tsundere savent se faire remarquer de leurs contemporains, mais pas forcément se lier avec eux. Plus particulièrement, ce trait se retrouve exacerbé dans leurs relations sentimentales.

De mon point de vue de psychologue de pacotille, les tsundere sont des personnages qui sont extrêmement anxieux et cherchent à avoir le contrôle sur ce qui les entoure. C'est cette recherche du contrôle qui les rend forts et accomplis. Cependant, ils paniquent quand la situation leur échappe, le plus souvent car la passion prend le dessus sur la raison.

De par leur côté bipolaire lié à leurs émotions, les tsundere la plupart du temps des personnages de comédies romantiques : leurs changement de caractère est un excellent ressort comique et leurs émotions sont propices à la romance. En outre, ce sont très majoritairement des filles, leur faiblesse dissimulée derrière leur carapace est une source de moé gigantesque.

Image
La réaction typique d'une tsundere prise au dépourvue, l'insulte verbale, ici Marie dans Persona 4 : Golden.

Histoire :

Comme tout trait de caractère, on peut le retrouver dans la littérature depuis toujours, mais ce dernier a vraiment gagné en popularité dans la culture manga de ces dernières années.
C'est au génie de Rumiko Takahashi que l'on doit l'introduction des premiers personnages principaux avec un trait tsundere vraiment prononcé. L'histoire instituerait donc Lum de Urusei Yatsura (Lamu de Lamu en France) comme la première tsundere « officielle ». On retrouve par la suite ce côté tsundere dans ses protagonistes féminins principaux, que ce soit Akane (Adeline en France) dans Ranma ½ puis Kagome dans Inuyasha.

Par la suite, dans les années 80 (et les années 90 en France), les tsundere commencèrent à débarquer en nombre. Pour votre bon souvenir, pensez à Kaori dans City Hunter (Laura dans Nicky Larson en France) ou Madoka dans Kimagure Orange Road (Sabrina dans Max et Compagnie en France).

Mais c'est dans les années 2000 que ce type de personnage commença à rencontrer un succès phénoménal. Tout d'abord, c'est à cette époque que le terme de tsundere fût inventé (il paraîtrait que c'est l'excellent visual novel Kimi ga Nozoume Eien qui l'a popularisé). De plus, tous les médias ont littéralement été envahis de tsundere, que ce soit dans les mangas, les jeux vidéos, les light novels, les visuals novels ou les animés. En effet, quasiment toutes les histoires et comédies romantiques contiennent au moins un ou une tsundere. Cette « mode » n'a pas encore disparue, puisque c'est encore le cas de nos jours. C'est même devenu un sujet de dérision pour les séries comiques (notamment dans Lucky☆Star et Nichijou, ou encore cet exemple cette vidéo tiré de Ore no Kanojo to Osananajimi ga Shuraba Sugiru).

À noter tout de même que ce phénomème reste pour l'instant assez endémique à l'archipel nippon (comme beaucoup d'autres phénomèmes ou japoniaiseries comme diraient certains). Cependant, on trouve des exemples de tsundere dans la culture occidentale, que ce soit la princesse Leia dans la (seule qui mériterait d'exister) trilogie Star Wars ou Hermione dans Harry Potter.

Image
Les tsundere ont parfois un côté très violent dans leur côté tsuntsun, comme Kaori dans City Hunter.

Rie Kugimiya :

Cet âge d'or de la tsundere a intrônisé une reine des seiyuu (doubleuse) de tsundere en la personne de Rie Kugimiya. Déjà bien installée dans le PAN (paysage audiovisuelle nippon), elle a doublé plus d'une dizaine de tsundere, et plus particulièrement les quatre principales tsundere de la fin des années 2000:

- Shana dans Shakugan no Shana (2005 - 2012)
- Louise Françoise Le Blanc de la Vallière dans Zero no Tsukaima (2006 - 2012)
- Nagi Sanzenin dans Hayate no Gotoku ! (2007 - 2013)
- Taiga Aisaka dans Toradora ! (2008)

Pour la plupart de ces rôles de tsundere, la voix de Rie Kugimiya est toujours la même et est très identifiable. Je pense pas me tromper en disant que cette voix est la plus connue et donc a plus facile à repérer du monde de la japanimation (même plus que les voix de Megumi Hayashira, Yuri Horie ou plus récemment Aya Hirano et Kanae Itō).
Rie Kugimiya fût d'ailleurs plusieurs fois distinguée par la profession pour ses doublages de tsundere, mais il faut avouer qu'on l'entend beacoup dans le PAN. Pour certains, il y a overdose.

Cependant, Rie Kugimiya reste une grande seiyuu qui a eu une présence majeure dans le phénomème des tsundere et qui continue encore sa carrière que ce soit dans des rôles de tsundere ou non.

Image
Différents personnages interprétés par Rie Kugimiya, notez qu'on y représente aussi son rôle d'Alphonse dans Full Metal Alchemist (elle double souvent des jeunes garçons), de Koboshi dans Pita-Ten et de Ringo d'Otogi-Jūshi Akazukin (des rôles d'osananajimi très protectrices, limite tsundere).

Toradora ! :

Toradora ! est sûrement un très bon exemple de comédie romantique récente mettant en scène une tsundere en personnage principale.
Je vais parler de l'adaptation animée, car si c'est à l'origine un light novel, je n'ai pas lu ce dernier, et l'adaptation est semble-t-il fidèle. À noter que, cette série est sortie en 2008, soit en pleine gloire des animés avec des tsundere.

Toradora est une romance lycéenne qui fait intervenir plusieurs personnages, je vais m'attarder sur les deux principaux. Le premier est Ryūji Takasu, un lycéen au regard patibulaire qui souhaiterait se défaire de la réputation que son apparence donne. Le second est Taiga Aisaka, une jeune fille au physique frêle qui ne se laisse pas marcher sur les pieds (pour cela, on la surnomme 手乗りタイガ, littéralement tigre qui tient dans la main) et qui est dans la même classe que Ryuuji. Le titre est la combinaison de tora (qui veut dire tigre en japonais, représentant taiga car son nom sonne comme tiger en anglais) et le diminutif de dragon (représentant Ryūji car son nom contient le mot dragon en japonais).

Ces deux personnages sont non seulement voisins mais ont aussi comme point commun d'être amoureux de leurs meilleurs amis réciproques. Cependant, chacun à leur manière se dévalorise, s'empêchant d'imaginer une issue heureuse à leur possible déclaration. Ils vont néanmoins s'allier afin de collecter des informations et des occasions pour se rapprocher de leurs amours. Au fur et à mesure, une complicité va s'installer entre Ryūji et Taiga, jusqu'à la naissance de sentiments amoureux.
Bien que l'histoire soit quand même plus complexe que ça, elle reste tout de même classique. Elle est par contre terriblement efficace, plutôt réaliste et bien réalisée. La comédie est bien entendue ponctuée par des quiproquos et les violences verbales et physiques de Taiga envers Ryūji. C'est une valeure sûre de la japanimation, à essayer si vous voulez commencez une série avec une tsundere qui ne soit pas que du fan service.

Image
La couverture du premier tome du light novel Toradora ! avec Taiga représentée avec un tigre au creux de ses mains (手乗りタイガ).

Quelques exemples de tsundere :

Avec redites :

- Lamu dans Urusei Yatsura (Lamu dans Lamu)
- Akane dans Ranma ½ (Adeline)
- Kagome dans Inuyasha
- Nadia dans Fushigi no Umi no Nadia
- Asuka dans Neon Genesis Evangelion
- Misty dans Pokémon (Ondine)
- Kyō dan Clannad
- Kaori dans City Hunter (Laura dans Nicky Larson)
- Shana dans Shakugan no Shana
- Sheena dans Tales of Symphonia (tous les Tales of ont des tsundere)
- Madoka dans Kimagure Orange Road (Sabrina dans Max et Compagnie)
- Kirino dans Ore no Imouto Konnani Kawaii Wake Ga Nai
- Taiga dans Toradora !
- Rin dans Fate/stay night
- Mikoto dans To Aru Majutsu no Index et To Aru Kagaku no Railgun
- Nagi dans Hayate no Gotoku !
- Hinagiku dans Hayate no Gotoku !
- Kagami dans Lucky☆Star
- Louise dans Zero no Tsukaima

Et vous, aimez vous les tsundere, quelles sont vos tsundere coup de cœur ?

Image
C'est pas comme si j'amais écrire des articles sur les mangas, bande d'idiots ! - Kirino dans Ore no Imouto Konnani Kawaii Wake Ga Nai



Message édité 8 fois. Dernière édition par Jonath lé là le 10/06/13 à 00:35.


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