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Message laissé le 10/09/09 à 13:20

Pour les travaux, on m'a assuré que tout serait fini pour la fin de la semaine. Il faut abattre un mur et en construire un autre. Rien de bien méchant mais il y a des tas de normaes de sécurité qui s'ajoutent à ça et qui gonflent un peu. Genre, tu parles si on s'en fout que le mur soit un mur coupe-feu... Détail ! Non ? J'espère qu'ils ont bien compris les unités de mesure sinon le stress sera multiplié par 75 quand je verrai l'étendue des dégâts

Pour les budgets, ce n'est pas trop l'argent le problème. On avait déjà bien prévu le coup. Même si la note n'arrête pas de s'allourdir, on reste dans les marques qu'on s'était fixé. ce qui est un peu flippant, c'est de signer un chèque de 40.000€. Disons que ça ne m'arrive pas tous les jours !

Pour les employées, franchement, je suis un peu perturbé. Je voulais (sincèrement) donner leur chance à des jeunes motivées, à du personnel désireux de faire autre chose que des tâches bêtes (caisse, ménage) mais j'ai vite déchanter. Les jeunes veulent tout, tout de suite, sans en glander une. Résultat : Je prévois déjà d'embaucher deux personnes de 47 et 49 ans qui ne me feront pas chier avec leur samedi, la garde du merdeux et deux ou trois autres trucs dans le genre. on dira ce qu'on voudra, mais ces deux personnes, elles savent ce que c'est le boulot et je suis persuadé qu'elles ne me feront pas chier le soir si on doit sortir avec 1/4 d'heure de retard parce que le magasin est en bordel... Pour celle qui est enceinte, je mise sur l'honnêteté. Il fallait pas mal de courage pour me l'annoncer AVANT la signature du contrat. je crois que grâce à ça, elle a sa place dans la boîte, même si ça plombe un peu le budget.

Pour la pub, ce sera dans les 2 journaux locaux et dans l'hebdomadaire télévisuel. Je suis absolument contre tout ce qui est flyer ou autre publicité volante qui vient polluer régulièrement ma boîte aux lettres (et qui finit la plupart du temps dans la poubelle sans que je n'y jette un oeil).

Pour la formation, le tout était de trouver un magasin "similaire" au mien, tant en terme de clientèle que de concept que de fréquentation... Sur un territoire de 1.000m², c'est tout ce qu'on a trouvé. J'ai la loose Par contre, si quelqu'un veut bien garder Maud pendant cette période, ça m'arrangerait. La maman étant aussi très occupée en ce moment, je ne vous cache pas que c'est le point le plus pénible à traiter pour l'heure.

[EDIT de sf : Note mentale = Scotcher cette foutue touche TAB ! ]

[Edité : par size.fac le 10/09/2009 à 07:33]

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Message laissé le 10/09/09 à 15:21

Citation :

Alors oui, j'ai beau être "jeune" (même si je vieillit comme les autres, grmmbll), je suis assez d'accord avec ce point de vue... On se pleint très souvent "bouh, j'arrive pas à trouver de boulot, j'arrive pas à ci, les patrons sont des cons, etc". Dans un cas assez général, il est vrai qu'on concède plus de chance au papier (cv) qu'à la personne en elle-même... c'est un fait et une évidence assez logique. Mais, il est tout aussi vrai qu'une fois le job décroché, nombreux sont ceux qui lachent les vannes et redeviennent "normaux" et agisse comme si tout leur était du et acquis. Ils ont bien souvent eu une chance pas possible d'avoir eu un patron sympathique (ou j'm'en foutiste... xD) de bien avoir voulu les embaucher malgré leur "manque d'expérience", mais il ne s'en rende pas compte et n'agisse pas en fonction de cette reconnaissance... Souvent, les patrons sont aussi des humains (ouais ouais, avec de la chair et tout) qui attendent un minimum de responsabilité de la part de leur jeunes employés, et accessoirement un peu de compréhension (encore plus quand une boite débute, je parle en connaissance de cause, j'suis dans une boite "jeune"). Le rapport humain se doit être réciproque... grosso modo, le patron est humain car il ne t'a pas forcément considéré comme un robot fabriquant du chiffre d'affaire brute et qu'il t'a donné une chance réelle de te lancer dans la vie... à l'employé d'être humain à son tour et de ne pas jouer ces mêmes robots pour lesquels ils ne voulaient pas qu'on les prennent au préalable, réglé comme des pendules à la minute près (surtout le soir).

Y'en a certain, j'ai franchement envie de leur foutre de grosses beignes dans la gueule... des gens tout près (genre à deux pas là, j'ai qu'à lever le nez). Ma boite répond à cette configuration, avec des patrons mais d'une humanité sans pareil, très souple sur les horaires, super indulgent quand on doit s'absenter pour des raisons "urgentes" médicale voir administrative, tu peux poser tes jours comme tu veux, sans contraintes (à toi d'être pas trop con pour pas poser en même temps que tout les autres collègues), ils communiquent relativement bien avec l'ensemble du personnel sur l'avancée de la boîte, on fait très souvent des "pots" le midi tous ensemble pour des prétextes banales ("ouais buvons, j'ai un nouvelle voiture !", "ouais buvons parceque heu ... c'est ta fête nan ?"). Le tout se passe dans une ambiance très conviviale (surtout le dernier point) et on reçoit même pas de coup de fouet pour bosser plus rapidement... et je n'ai pas parlé du msn "autorisé", des pauses "forums" (hem hem) et autres...
Mais oui, parfois, mon dieu... le boulot est difficile, parfois, on se voit dans l'obligation de rester tard un soir pour boucler un programme, "parceque bon là, ça urge", parfois même, faut arriver plus tôt le matin... pire encore, une fois tout les 36 du mois, on peut te demander de venir un samedi matin !! *tremble*
Et oui, donc y'en a qui passe leur vie à raler, que la vie est dure, et toussa... et moi je me dis que j'ai envie de les envoyer dans une usine à la chaine à mouler des joints sur un tapis roulant à grande vitesse pour leur apprendre la vie... surtout quand ces personnes sont des "apprentis" "

J'suis pas du tout pro "patronnat" ou ces choses là (j'veux faire des trous dans les parachutes dorés)... j'suis surtout pour le respect et l'engagement mutuel. Et parfois, les jérémiades, ça me court sur le haricot... Le coté positif, c'est que moi j'gagne des points pendant que les autres continuent de pleurer leur maman en bas de l'échelle... mais dans ce monde de merde, il arrive parfois qu'on ait vraiment que ce qu'on mérite.



Citation :

Oui, c'est une invention de Satan, à n'en pas douter.

[Edité : par Freytaw le 10/09/2009 à 09:22]

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Message laissé le 11/09/09 à 10:27

Tu connais personne qui pourrait garder Maud?
C'est quand ta formation en Bretagne?

Courage pour le reste en tout cas

*reprend les pompons que Frey a VOLES et les agite à son tour*


EDIT: Au fait, regardez le premier post de ce topic... Comme quoi, la vie est un éternel recommencement

[Edité : par Pherfalath le 11/09/2009 à 04:29]

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Message laissé le 11/09/09 à 13:55

On va créer un topic "anecdote" à chaque fois que sf change de job ?
En tout cas bien vu Pherfy ! Le temps passe !

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Message laissé le 18/09/09 à 22:11

Woah ! Ca ferait presque peur, ça

Sinon, il paraît que quand on est réveillé en plein milieu d'un rêve, on se souvient de celui-ci. Je vais finir par croire que c'est vrai car je ne me rappelle que très rarement de mes rêves mais j'en ai fait dernièrement qui m'a suffisamment dérangé pour qu'il me réveille en sueur en plein milieu de la nuit...

En gros, vous connaissez Resident Evil (le jeu) ? Vous connaissez Jack Bauer ?

Ben voilà !

Disons qu'avec Jack, c'est tout de suite plus simple ! Je pense que ce rêve est du à mon gros gavave de 24 ces derniers temps mais pour Resident Evil, je ne vois pas Je comptais le faire prochainement en vidéo mais rien de concret. En tout cas, ça m'a apparemment quand même foutu les pétoches !

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Message laissé le 15/11/09 à 19:03

Allez, comme ça fait un bail, quelques anecdotes!

Un jour, à la prise de service, appel pour un incendie dans un pavillon. Alors, non, on n'y va pas pour éteindre, juste pour barrer les rues et faire la circulation, on n'a pas le beau rôle. Les pompiers éteignent le feu, la routine quoi, et rangent leur matériel.
Et puis brusquement, une grande lumière... Merde, le feu vient de reprendre! Super impressionnant!
Il y a plein de produits inflammables dans la cave du pavillon, vu que l'occupant est artiste peintre.
Les pompiers ont eu du mal et ont terminé d'éteindre le feu à l'heure de notre fin de service. Huit heures quoi, sacré bordel. Le pavillon détruit et la cave remplie de mousse. La grande classe.

Un jour, la voiture revient de révision.
Machinalement, j'enclenche l'essuie-glace avant.
Marrant ça, ça ne fonctionne pas.
Tiens, ça fonctionne à l'arrière.
Euh... Et l'essuie-glace arrière?
Tiens, ça fonctionne à l'avant.
Merci les collègues du garage de nous faire rire comme ça

Un jour, accident matériel de la circulation juste devant le commissariat, pendant l'heure du repas. Pas de chance.
Comme on avait presque fini, on a terminé avant d'y aller.
Et là, super, c'est un accident entre un poids lourd et une auto-école.
Le genre de truc simple, tellement courant que tout le monde s'y connaît.
Et puis comme si ça ne suffisait pas, le poids lourd est allemand, avec des papiers en allemand, avec deux allemands au volant (pas en même temps), dont bien entendu pas un ne parle français. Et même en anglais, c'est pas trop ça.
C'est peut-être mon anglais remarquez.
On a fait appel à des collègues spécialisés, et il s'est avéré que le poids lourd était en infraction sur beaucoup de points (surcharge, large dépassement du temps de conduite des conducteurs, qui conduisaient avec les cartes d'autres personnes...). L'entreprise propriétaire du camion a dû payer plus de 15000 euros d'amende pour le récupérer. Joli.

Un jour, une personne m'appelle au sujet de la présentation des documents suite à verbalisation pour la non présentation, justement.
(pour ceux qui l'ignorent, tout conducteur de véhicule est tenu de présenter son permis de conduire, la carte grise et l'assurance du véhicule qu'il conduit, sinon il peut être verbalisé et est en plus tenu de venir les présenter au commissariat dans les cinq jours)
Et donc, cette personne me demande si ces cinq jours ont cours en période de vacances scolaires. Mais non voyons, il y a trêve pendant les vacances, on verra ça à votre retour! (ceci est ironique bien entendu)

Un jour, un collègue me désigne mon épaule.
Super, un charmant volatile n'a rien trouvé de mieux que me chier dessus.
D'où la nécessité de toujours avoir une chemise de rechange dans son casier.
Et heureusement que j'étais en chemise d'ailleurs.

Un jour, quelqu'un m'appelle pour se plaindre de la façon dont a été reçu son beau-frère au commissariat.
Et réussit à glisser de façon négligente qu'il connaît du monde et que c'est un scandale que les policiers fassent mal leur travail.
Je prends obligeamment quelques renseignements tout en essayant sans succès de savoir quel monde il connaît (parce que bon, ça peut vouloir dire beaucoup de choses et rien en particulier) avant de lui demander où est son beau-frère.
Ben il est à côté de lui.
Et pourquoi ce n'est pas lui qui me parle à ce moment
Ben il a un problème.
Et quel genre de problème?
Mental.
Ah oui. D'accord.
Je continue obligeamment la conversation (parce que je suis quelqu'un de très obligeant et puis aussi parce que c'est parfois assez amusant) jusqu'à ce qu'une tournure de phrase du gars me tique.
On a comme qui dirait l'impression qu'il n'est pas tout à fait certain de la véracité des dires de son beau-frère.
Et bien entendu, je rebondis là-dessus. Petite gêne du gars quand je lui fais remarquer qu'il pourrait peut-être s'assurer que ce que dit son frère est vrai avant de taper un scandale au commissariat et de mettre en cause injustement le travail des policiers.
Vous me direz, peut-être que son beau-frère avait vraiment été mal reçu. Mais comme il en doutait et que le doute profite à l'accusé, je me suis fait plaisir quand je l'ai envoyé bouler

Un jour, quelqu'un m'appelle pour me signaler la disparition d'un de ses amis, enfin, d'un ami de sa copine plutôt, à qui il avait prêté son chien, un pitbull, et qu'il n'arrive plus à recontacter.
Et me demande ce qu'on va faire.
Ben à vrai dire, pas grand chose pour le moment, mais pourquoi est-ce que ça vous inquiète tant, il est peut-être juste parti faire une ballade?
Ah, il est sorti de l'hôpital psychiatrique il y a peu, et puis c'est un gros chien.
Ben si ça vous inquiète tant, pourquoi lui avoir prêté votre chien? (parce que nous, on n'est pas bien malins, on se pose souvent des questions bêtes, qui d'ailleurs ne trouvent pas souvent de réponses)
Ah, en fait vous êtes juste inquiet que votre responsabilité puisse être engagée si votre chien causait du dégât?
Ben c'est ballot, au revoir.
Notez que je ne lui ai pas demandé si il était bien en règle pour avoir un chien comme ça, je vieillis

Un jour, une personne se présente au commissariat pour déposer plainte pour le vol de sa voiture, qu'elle avait prêtée à une personne qu'elle connaissait à peine.
Normal.
Le genre de truc que j'adore pour y avoir déjà goûté, et dont je sais que ça finit toujours en eau de boudin, puisque le propriétaire récupère en général son bien et refuse alors de nous communiquer le moindre renseignement concernant le voleur. Une plainte de complaisance quoi, pour se couvrir en cas de problème, et qui est retirée illico dès que la situation revient à la normale.
Le genre de truc que j'adore.
J'ai donc pris la personne entre quatre yeux et je lui ai dit qu'une plainte, ce n'était pas un acte anodin, que c'était sérieux, que ce n'était pas à la carte, que ça ne se retirait pas comme ça et que même en cas de retour de la voiture, le voleur serait poursuivi. Ben croyez-le ou pas, ça l'a fait drôlement hésiter la personne, tellement qu'elle a décidé de se débrouiller toute seule en téléphonant à son voleur.

Un jour, une personne se présente au commissariat. Il vient signaler que son titre de séjour est expiré et qu'il ne pourra pas en obtenir un nouveau avant quelques temps, puisqu'il a quelques soucis administratifs avec son ambassade.
Ah.
C'est tout à son honneur de venir me le dire, mais je lui avoue ne pas comprendre la finalité.
Et là il me dit que ce n'est pas une question d'honneur, que c'est normal de respecter les lois du pays dans lequel on vit.
Ce à quoi je réponds que s'il veut vraiment respecter les lois, alors je suis tenu de l'arrêter, puisqu'il m'avoue de lui-même ne pas être en situation régulière.
Ah oui.
Je ne suis pas sûr de l'avoir vraiment convaincu

Encore un jour, on nous appelle pour une manifestation de sans-papiers. Bon, on y va, et sur place, un petit piquet de grève avec quatre ou cinq personnes. J'annonce ironiquement le nombre impressionnant de manifestants présents à la radio et on retourne au commissariat afin de rédiger les quelques procédures que nous avions en attente. Avant d'être rappelés quelques minutes plus tard, toujours pour cette manifestation, avec pour précision que les manifestants, nombreux, bloquent une route. Ah oui, mince, on n'avait pas pensé qu'ils s'étaient peut-être déplacés avant notre arrivée. Ce qu'on peut être boulets parfois

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Message laissé le 17/11/09 à 20:12

Les deux dernières m'ont bien fait marrer ! J'aurai aimé voir votre tête sur la dernière !

A quand un "Vis ma vie" entre toi et moi ?

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Message laissé le 19/11/09 à 17:14

Histoire de me ridiculiser bien comme il faut, je vais vous raconter ce qui m'est arrivée hier soir... Rien de bien extravagant, juste quelques choses de proprement idiot.

Ma meilleure amie me donne rendez-vous sur le parking du magasin qu'elle est en train de faire (un truc de nana) à la débauche. Je l'y retrouve et une de ses amies nous rejoint.

On décide d'aller manger un morceau non loin de là, en bon feignant que nous sommes, nous embarquons tous dans la voiture de ma meilleure amie en direction du restaurant, il est 19h.

Nous sommes plus ou moins pressé, nous avons décidé avec ma meilleure amie seulement (son autre amie ayant d'autres trucs à faire) d'aller au cinéma, la scéance est à 20h15, le timing va être serré.
On mange finalement assez rapidement. Après quelques péripéties (notamment une clé de voiture égarée dans un chapeau... me demandez pas comment c'est possible), on arrive enfin à partir du resto, on retourne donc au fameux magasins auquel est garé nos voitures, il est 20h.

Et là... le parking est innaccessible, ils ont fermé les grilles qui mènent au parking... Sur ce dernier, deux voitures trônes fièrement et seules, dans la nuit noire.

Grand moment de solitude....



Pour la fin de l'histoire, nous avons pu rentrer chacun chez nous grâce à la voiture de ma meilleure amie (et elle accessoirement), nous avons bien évidemment raté la séance de cinéma, mais on a aussi évité la fourrière (procédure normale quand des voitures "abandonnés" sont laissé sur des parking privés) dixit les vigiles du magasin.
On a pu récupérer nos bagnoles ce matin sans tracas, moi même j'ai "évité" les réprimandes, puisque j'ai du me faire conduire du boulot vers 11h (le magasin n'ouvrait évidemment qu'à 10h, j'ai d'ailleurs fait le pied de grue le matin de 9h à 9h30, mais après fallait aller bosser quand même), je suis rentré sur le parking et j'ai subtiliser ma voiture comme un voleur, mais du genre qui a honte, parce qu'il s'est fait relâché après un menu larcin foireux.

[Edité : par Freytaw le 19/11/2009 à 11:14]

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Message laissé le 20/11/09 à 02:57

Ouch Note que c'est le genre de trucs qui énèrve bien quand ça arrive. Je pense que tu en rigoleras à Noël. Ceci étant dit, ça aurait pu mal tourner parce qu'une fois à la fourrière, ça coûte les yeux de la tête pour récupérer la voiture.

Moi, je me suis fais draguer par une vieille de 60 balloches. C'est moche

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Message laissé le 23/11/09 à 22:55

Citation :

Je te rassure, j'en rigolais le soir même haha.



Citation :

T'as pris un coup de vieux là non ? xD

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Club des Papas !

Message laissé le 26/11/09 à 16:10

Citation :

Ha tiens, ça m'est arrivé aussi, mais elle devait avoir "seulement" cinquante ans.

J'étais aux Galeries Lafayette à Dijon, à l'étage, en train de regarder ce qui se passait en bas, avec un sac à main (pas pour moi, je précise ).

Soudain, quelqu'un me prend par le bras et s'extasie. Un peu dubitatif, je souris bêtement et me demande si je la connais (après tout, je suis du coin).

Non, non, elle me dit avec un petit accent italien (ravissant, je dois l'avouer) "ho, suis-je bête, je vous ai confondu avec un mannequin".

Oui, j'étais à côté de mannequins mais entre les mannequins pour les sacs à main de Lafayette et ma veste mitée ainsi que ma casquette de faux-révolutionnaire, il y a quand même une marge.

Et elle ajoute: "mais ç'est aussi parceque vous êtes beau comme un mannequin...".

Euh, oui, merci, toussa. Puis elle reprit son chemin, toute guillerette, me laissant quand même un peu décontenancé


Mais je n'ai pas à me plaindre. Un ami qui travaille à l'accueil dans une célèbre banque n'arrête pas de se faire draguer par des personnes assez agées. Avec un de ses collèges à l'accueil, ils essayent de bien gérer leur temps avec chaque client pour avoir les plus belles filles et laisser les "autres" au pauvre collègue .

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Message laissé le 13/12/09 à 19:10

C'est marrant, on a ça aussi au boulot

La dernière anecdote pour moi, c'est deux jeunes, de quatorze et dix-sept ans, ramenés au poste pour escroquerie dans un magasin. Ils avaient passé en caisse une Xbox 360 et une voiture télécommandée (une grosse) après avoir changé les étiquettes. Comme ils n'avaient visiblement pas envie d'y claquer beaucoup d'argent, ils se sont débrouillés pour que les plus de cinq cents euros que ça valait se transforment en moins de vingt euros. On ne s'est pas privés de leur dire qu'ils étaient quand même vraiment idiots et je crois qu'on leur a mis le doute

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Message laissé le 14/12/09 à 18:40

Il y en a qui doutent de rien.

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Message laissé le 16/12/09 à 20:58

Le pire est que je crois quand même qu'on a tous pensé à faire ça au moins une fois étant plus jeune...

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Message laissé le 21/12/09 à 20:57

On essaye d'apprendre à Maud à réclamer quand elle doit aller sur le pot... La technique n'est pas encore au point Quand elle arrive en criant "PAPA, CACA !" c'est que c'est déjà trop tard...

J'en ai fais les frais ce soir... J'étais en train de faire la vaisselle quand elle a déboulé en trombe dans la cuisine. Moi, voulant bien faire, je lui saute dessus, l'embarque sous le bras, m'explose le petit orteil contre l'angle d'une porte, je l'engueule (la porte, pas Maud) et je la défroque illico (Maud, pas la porte)... Trop tard, je vous dis... La taupe était déjà sortie du trou et elle a atterri pile sur le carrelage... Mais PILE sur le carrelage.. Pas un peu en biais, pas à moitié sur le pot, non PILE sur le carrelage... Comme si ça avait été volontaire. Et après, forcément, le petit rituel qui consiste à applaudire parce qu'elle n'a pas fait dans sa couche mais plus ou moins dans le pot...

C'est vraiment pas futé un gosse ! Je nettoye ou je laisse ça pour ma compagne ?

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Message laissé le 21/12/09 à 22:01

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Message laissé le 22/12/09 à 17:15

Évidemment tu postes sur Blork pour annoncer l'exploit avant de nettoyer, super classe, merci du partage !

Pour ma part, j'ai passé la soirée de jeudi en grande partie sur la route, ou plutôt sur la route et dans la neige, parmi une flopée d'imbéciles qui ont tous décidé de s'entasser sur des voies principales. Il était 17h quand j'ai quitté le travail.
Bref... ma meilleure amie était elle bloquée ailleurs, l'objectif, pas des plus simple, étaient de me faufiler à travers les bouchons et les voies inexplorées (et accessoirement très enneigés) pour la rejoindre. Pas de bol pour elle, elle est tombé en pleine tempête, derrière un camion qui s'est foutu en vrac juste devant elle. L'équation est simple : national + neige + camion en vrac + sableuse bloquée = bouchon monumental. Limoges... la dernière ville du monde à sortir les sableuses quand le premier (voir le deuxième) flocon pointe le bout de son nez. Raison écologique il parait, saler la route ça pollue nos rivières, tout ça. Soit.
Donc j'ai pris mon courage à deux mains, j'ai traversé des marais de voitures enneigées, pris le risque de prendre l'autoroute, en roulant sur la voie de gauche, tandis que les idiots s'agglutinaient sur la voix de droite pour d'obscurs raisons (sans doute avait-il peur de rater leur sortie...). J'ai d'ailleurs coupé cette file de droite pour prendre nonchalamment ma sortie, du moins, une sortie plus tôt que celle habituelle, parceque c'est l'aventure et que je connais les imbéciles ! Ma meilleure amie revenant de Toulouse, bloquée, ne pouvant faire demi tour, à cause des imbéciles (ce qui prouve efficacement que tout les gens bloqués n'étaient pas imbéciles, même si la plupart oui... hem, pirouette cacahuète) avait faim, il est 19h00. Dans un élan "aventuresque" et de grande générosité, après 2h déjà passé au volant pour faire à peine 6 kilomètres, me voilà arrivé au McDo de la zone nord. Il est éclairé, des gens bougent à l'intérieur ! L'apocalypse n'aura pas raison de nous ! Je me précipite à la porte qui reste définitivement fermé, sous mes yeux béats, fixant tristement le 24/24h... Des gens à l'intérieur s'activent. Ils vont m'ouvrir ? Ha non... ils me renvoient bouler visiblement, avec une grâce des plus délicate. Bon... je vois qu'en cas de panique de fin du monde, McDo sera là pour nous sauver.
Bredouille, je repars sur les routes et les bouchons. Un mur immense se dresse face à moi, cette voie que l'on appelle communément chez nous la D2000... tout les abrutis du coin ont malheureusement décidé que c'est par là qu'ils allaient rentrer chez eux, puisque la neige c'est super dangereux et mortel de rouler dessus. Deux options s'offrent à moi : continuer sur cette voie, dans un bouchon monumental (accessoirement du au blocage de la national quelques km plus loin, tout se tient) en faisant 2 mètre par heure... ou... je prie pour que ma meilleure amie s'en sortent seule grâce à mes suprêmes indications de route magique et inoccupée (parceque y'a de la neige dessus et que c'est dangereux et ça tue les gens). De mon côté, il reste aussi une solution : faire demi-tour et prendre l'une de ses fameuses routes.
Après plusieurs coup de fil manquée, j'arrive à joindre ma meilleure amie. Je la guide avec ma simple voix à travers la nuit enneigée sur des routes que personne n'ose emprunter (musique de suspens, et c'est là normalement qu'elle tombe en panne et se fait manger par des zombies, mais pour d'obscurs raison, ce n'est pas arrivé). Etant débloquée et ayant rejoint une route qu'elle connait, la voilà sauve, prête à atterrir dans ma maisonnée, à l'abri du froid et de la neige, qui a commencé à attaquer ses pneus (ou pas...). Chez elle c'est bien trop loin voyez vous, il y a encore trop de neige très méchante et des côtes avaleuse de voiture.

Mais mon aventure à moi n'est pas terminée. Je dois partir de cette D2000 où la populace s'est entassée pour la nuit, dans le désespoir et la souffrance, effrayé de finir avalé par un flocon de neige tout entier et se tenant chaud les uns les autres, dans leur effluve de pollution, rejetée par leur voiture marmonnant au ralenti, et sur place. Le demi tour se fait sans encombre, en dehors de quelques âmes effrayées qui, voulant échapper au voile d'hiver terrifiant, se sont mis sur la voie de gauche (à contresens cette fois, on est plus sur l'autoroute mais bien sur une départementale, aux allures de nationales ceci dit) en proie à la panique et à l'énervement. Deux slaloms plus loin, j'arrive à mon point de repère. Petite lumière faible dans la nuit, derrière un rideau de flocons infâmes, le Décathlon de Limoges Zone-Nord, se tient devant moi. Il y a une route non loin qui me permettra de traverser monts et collines pour atteindre mon chez moi. Un parcours semée d'embûches, telle que la neige mangeuse d'homme et de voitures, et des côtes et des descentes à pic capable de t'entrainer jusqu'au fond de l'enfer hivernal. D'ailleurs, ces dernières ne se font pas attendre... voilà que se tient devant moi l'une de ses côtes en question, pas très grande, ni même très endurante, elle se montre pourtant très coriace, et reste digne d'un boss de deuxième niveau. Un premier joueur tente l'aventure devant moi et se retrouve en bas, tout malheureux. C'est à mon tour de m'engager. La neige gronde et le sol blanc crépite sous mes roues, je me lance. Je reste en première, ma voiture tiens une petite forme, mais ce fut une erreur : les roues perdent pieds et la neige les attaquent avec virulence. L'homme, complètement inconscient de la voiture précédente est venu me prêter main forte. Il est sorti à l'air libre (oui, à l'air LIBRE !) pour venir pousser ma voiture. Mais ce fut un échec. En face, un monstre humain envoituré, balourd et bien lourdingue se plante, prêt à dévaler la pente avec fracas. Fort contrarié que je sois scotché en plein milieu, il se sent obligé de me faire quelques remontrances agréable sur ma façon de conduire et m'engage avec ironie à me laisser glisser en arrière, dans les méandres de l'enfer hivernal. Contraint, je me laisse emporter, les roues n'ayant plus aucune prise, assassinée par cette vilénie de neige. L'enfer n'était pas pour tout de suite, maitrise aidant, je retourne à mon point de départ avec dépit. Me traitant d'abruti de manière détourné, le balourd moustachu m'invite, moi et mon nouveau compagnon d'infortune, à nous les peler bien comme il faut dans notre voiture jusqu'au petit matin, puisque bien incapable que nous sommes, nous le méritons ardemment. Ce nouveau compagnon, perdu dans la neige à mes côtés, indique, sans aucune indignation à l'égard du vilain monsieur (sans doute un complice caché de la neige en question), qu'il n'habite qu'à un petit kilomètre, juste au dessus de cette petite côte, et qu'il possède, dans son garage bien protégé, un item sacré, de nature épique et rare : des chaînes pour pneu. Le balourd en question n'en a cure et décide de poursuivre sa route, et nous abandonne ainsi à notre triste sort.

Fort touché dans mon estime et ma fierté, je ne peux laisser passer cet affront. Certes, le complice de toute cette saloperie s'est enfui, par peur de mon courroux très certainement, mais il me reste une solution : affronter de nouveau la côte terrible. Boss du niveau 2, second essai. Je prend plus d'élan, je vise avec un aplomb total, et j'accélère. Ca patine un peu, mais plusieurs jets de résistance face à la neige me permette d'avancer, elle ne mangera pas mes pneus une seconde fois ! J'aborde la montée. Je la sens passer à l'attaque, mais cette fois-ci, je ne me laisse pas duper, je passe la seconde ! Et je lui met sa race.
J'arrive au sommet, avec un sentiment de fierté, mais aussi d'effroi, la route au delà semble grimaçante et néfaste et ne veux visiblement pas m'acceuillir en son sein. Mais je ne me laisserais pas décourager. J'hèle mon compagnon d'infortune, qui n'arrive toujours pas à passer le boss de second niveau. Je le prend sous mon aile, tel un oisillon, et nous nous engageons plus avant, dans le noir et la crainte qu'à tout instant, nous finissions dévoré par un fossé fourbe, camouflé sous un lit de neige. Le kilomètre n'est effectivement pas très long. Peu de gens osent s'aventurer en contrées si hostiles alors peu nombreux sont les pélerins que nous croiseront (ils préfèrent s'entasser sur la nationale, en attente d'un messie ressemblant fortement à une sableuse... mais qui ne peut jamais arriver jusqu'à eux, puisqu'ils encombrent les routes, les imbéciles...). Je dépose mon nouvel ami chez lui, sain et sauf. Mais ne manquant pas de vaillance (et étant très certainement un peu fou), ils s'emparent de ces chaînes et de son vélo, et retourne chercher sa voiture, pour affronter ce sale boss de second niveau. Je le laisse ainsi à son aventure, sans regret car il ne souhaite pas que je l'accompagne, je dois d'abord assurer ma propre victoire, et lui n'est pas très loin me dit-il... Soit.

Les quelques kilomètres restant, bien que long et fastidieux, ne m'ont pas montré grande difficulté. Ceci rendant donc la difficulté du parcours bien inégale. La neige s'est avérée ne plus être aussi cruelle qu'elle en avait l'air, les côtes beaucoup moins agressive, les pentes beaucoup plus légère (et les freins moteurs ne faisaient qu'une bouchée d'elle) et les fossés carrément visible... Elle a certes tenté de me faire peur en me montrant, telle une galerie d'horreur de fête foraine foireuse, une voiture ou deux, plantées littéralement dans un fossé, warning clignotant, et vide de passager. Tout ceci sonnait bien trop faux à mes yeux pour me faire peur, le plan machiavélique de l'hiver n'a su me contraindre. J'ai poursuivi ainsi mon chemin, jusqu'au bout, sans peur et sans reproches.

Pendant ce temps là... les imbéciles dormaient dans leur voiture, sur la nationale, ou dans une salle polyvalente de fortune, dans le village voisin... La neige a gagné bien plus de combat ce soir là, mais elle ne m'a pas eu moi !
A 22h, je foulais les pieds de ma porte, et je dégustais un bon plat chaud, en méprisant l'hiver, les égoïstes et les imbéciles.

[Edité : par Freytaw le 23/12/2009 à 04:45]

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Message laissé le 22/12/09 à 19:18

Et dire que chez nous on pleure pour avoir un peu de neige
Nan sérieusement sa existe pas en vrai des trucs comme sa:O sa arrive qu'à Indiana Jones

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Les loutres, ça poutre!!
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Message laissé le 22/12/09 à 19:33

Sérieux, ça t'as pris 5 heures retourner chez toi ?
Mais t'habites relativement loin, où...

Pour aller au Secondaire (Je crois que ça s'appelle le lycée en France...), je dois, une semaine sur deux, prendre la bus de ville et il se trouve que quand il neige, forcément, ça ralenti et je manque mon transfert.

Du coup je dois prendre deux autres bus et j'arrive à l'école à 9h45 (Les cours commencent à 9h10, pour vous dire)

Et évidemment, j'étais incapable d'appeler mes parents pour leur dire de motiver mon retard car mon cellulaire (ou portable, si vous préférez) apparament n'effectuait plus de paiements automatiques, et du coup j'pouvais pas m'en servir...


Mais bon, côté neige, au Québec, on est bien équippé... Sableuses, grattes, soufleurs à neige, emmenez-en, on a littéralement une armée déneigeuse. J'me souviens une nuit il était tombé beaucoup de neige (Vraiment BEAUCOUP - J'avais de la neige jusqu'à la taille et j'ai de grandes jambes) et pendant toute la nuit les déneigeuses n'avaient pas chômer. Une telle tempête aurait sûrement paralyser une ville en France pendant plusieurs jours (sans déconner, j'vous le dit, on est très TRÈS équippé, pneus d'hiver, dénneigeuse, sallières, sableuses, bref...)

Je me souviens, une fin-de-semaine...

On avait passé la nuit chez ma belle-mère (aka la "copine" - j'aime pas ce terme, ça fait enfantin - de mon père) et on a passé la journée à pelleter, à sauter dans la neige, à se les geler, bref... On était quand même six - mon père, moi, la belle-mère et ses trois enfants - pour pelleter tout ça, c'était pas si mal. Quand mon père et moi sommes retourner à la maison, il était environ 10-11 heures du soir, on était fatigué, on avait passé la journée à pelleter... Nous sommes arriver chez nous lors d'une panne d'éléctricité - qui parait-il avait durer toute la journée - déconcertés quand la réalité nous claqua au visage comme un fouet - Les efforts que nous avions mis à déneiger le stationement et l'entrée de la belle-mère étaient vain ici : ON AVAIT ENCORE DE LA NEIGE À PELLETER !! Et alors qu'on était six là-bas, nous n'étions que deux ici...

Imaginez... Le corps épuisé à avoir pelleté pendant pratiquement 10 heures, à se les geler, à s'amuser également (on avait glissé sur la montagne - euh, banc de neige sur le terrain), et on a dû sortir les pelles et pelleter dans l'obscurité de la nuit, éclairés seulement par les phares de la voiture. Si le ciel avait été dégagé, nous aurions pu contempler la voûte céleste comme nous n'avions jamais pu le faire (Car panne d'électricité = très faible pollution lumineuse), mais le ciel était encore couvert...

On était gelé quand nous entrés à l'intérieur... Et comme notre maison était dépourvu de système de chauffage fonctionnel (Grâcieuseté d'une longue panne d'électricité), il faisait un peu plus froid (pas autant que je me le serais imaginé, cependant)...

Laissez-moi vous dire que lorsque j'ai enfin pu fermé les yeux, au chaud dans mon lit, j'suis tombé endormi en moins de temps qu'il ne le faut pour le dire.


Paraît-il, l'hiver 2007-2008 nous avait apporté pas moins de 400cm de neige !! Je vous le jure, y avait une longue rue dans notre quartier qui était transformé en rue à sens unique, y avait des corridors de neige partout !

[Edité : par Quartrez le 22/12/2009 à 13:37]

[Edité : par Quartrez le 22/12/2009 à 13:42]

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BL RK

Message laissé le 23/12/09 à 11:10

Oui, 5h de route (dont 4h d'embouteillage). J'habite à une vingtaine de kilomètre de mon boulot. Je met généralement entre 20 et 30 minutes pour faire le trajet.

Sinon pour le Québec, je te crois carrément ! J'y ai fait un petit séjour de 9 mois, en 2006-2007, pour les études. Et de la neige, y'en a eu en masse ! Du moins plus que je ne n'en avais jamais vu. Et je sais très bien que c'est pas ça qui vous arrête haha !
Nous ici, nous sommes très mal organisé quand ça se pointe. On sort les sableuses (moins nombreuse que les votres) au dernier moment, et les gens sont déjà bouchonné sur la route à cause d'un camion qui s'est foutu en l'air. C'est généralement comme ça que ça se passe. Du coup, personne peut avancer, ni déneiger, ni même faire quoi que ce soit, et on est paralysé. Donc oui, si un jour chez nous ils tombent 20 centimètres pendant la nuit, on est paralyser pour au moins 7 jours xD

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