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... Et il le prouve !

Les 7 Mercenaires - 2016 (sans spoiler)

Article posté le 29/09/16 à 18:52

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Jusqu'ici, tout va bien !

Remake, reprise, reboot ou je ne sais quelle autre appellation d'un film sorti il y a tellement longtemps qu'il était complètement oublié des radars, ironiquement lui-même adaptation d'un autre film dont les qualités sont généralement vantées par des gens qui ne l'ont pas vu, Les 7 Mercenaires est un film pour un public formaté. C'est bien et c'est pas bien.

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C'est bon, le compte y est, on peut y aller.

C'est pas bien, forcément, parce qu'on a le sentiment de faire partie de la masse idiote incapable d'aller chercher plus loin que le fil conducteur principal d'un film. Mais c'est bien parce que dans ce cas on n'a pas non plus le sentiment de faire partie d'une élite détestable qui semble être au-dessus des autres simplement parce qu'elle a vu trois films de Tarantino et autant de Kitano. Donc que ce soit dit, Les 7 Mercenaires cru 2016 est à la fois bien et pas bien.

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Pas de doute, c'est bien un film de cow-boys.

Bien parce que même si vous n'avez pas vu le film original, que vous n'aimez pas plus que ça les films de cow-boys et que vous trouvez également que le mois de septembre était assez chiche en films qui font boum vous aurez de quoi vous éclatez avec la joyeuse clique de gars qui part sauver une ville de la tyrannie d'un méchant méchant. Pas bien parce que c'est très tranché. Même si je considère que ce film est la version réussi de Suicide Squad, il y a une nouvelle fois un gros loupé au niveau de l'écriture des personnages. Des mercenaires dont au moins un salopard, deux qui pensent surtout à leur gueule, un petit filou et un qui est parachuté là-dedans sans trop savoir ce qu'il y fout vont devenir les bons samaritains prêts à tous les sacrifices pour venir en aide à des paysans pleutres mais paysans donc on leur pardonne. Version western de Expendables : Unité Spéciale, Les 7 Mercenaires ne va pas chercher très loin au niveau de la structure.

Première phase : Le problème

Une mine d'or, un méchant, des gens qui n'en peuvent plus. En plus, le méchant, il brûle une église. Pas bien !

Deuxième phase : Le recrutement

On va pas se laisser emmerder et on va laisser les autres faire le boulot à notre place. Ni une ni deux, la pute précédemment apparue furtivement dans The Equalizer va recruter au moins un mec pour l'aider à sauver les siens. Alors double coup de bol, non seulement le mec il connaît le méchant et il a déjà une dent contre lui mais en plus il a le bras long (ça aide pendant les duels) et il connaît tout plein de gars qui vont pouvoir se joindre à la petit fête. Donc deuxième phase qui prend son temps mais qui est nécessaire : La présentation des 6 autres, juste ce qu'il faut pour qu'on puisse savoir qui est qui et pour qu'on puisse si on en a envie faire la parallèle avec ceux de la version d'avant.

Troisième phase : Le reste

On arrive dans la ville, on canarde tout le monde, on attend que le reste des troupes viennent nous foutre une branlée et on compte les morts.

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"Un, deux, trois..."

Reste que ça fonctionne. C'est basique sur le papier et on peut reprocher au réalisateur de surtout s'amuser avec ses 7 mercenaires sans prendre en compte plus que ça la douleur des habitants de la ville. Même si c'est un peu expédié par moment et qu'il ne pouvait pas non plus peindre un portrait détaillé de tout le monde, on accepte parfaitement les défauts de chacun, les petites animosités qui naissent et la personnalité de la troupe.

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Un plan qui en jette

Point de vue réalisation, c'est franchement pas mal. On applaudit la tension incroyable qui s'installe lorsque les 7 mercenaires arrivent la première fois en ville. On est parfaitement dans l'ambiance, on s'accroche à son siège parce qu'on sait que ça peut partir à tout moment sans savoir si les personnages ont vraiment envie que ça parte. Très bien, ça !

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Oui ? Nan ? Peut-être ? Tirera ? Tirera pas ? Un peu ? Beaucoup ? Passionnément ?

La seconde moitié du film est surtout destinée à rendre attachants les personnages et à voir comment ils vont réussir à protéger la ville alors que 200 mecs (plus une Gatling) leur foncent dessus. Une nouvelle fois, ça marche car si au début tout semble trop facile, bien vite, les difficultés vont apparaître avec les fameux « c'est con, je l'aimais bien » ponctués de quelques moments de bravoure et de quelques répartis qui font mouche. On regrettera juste un combat sans colt qui aurait pu envoyer du pâté mais qui est expédié en 10 secondes et un dernier affrontement qui plombe complètement la scène d'avant qui était juste énorme en intensité (et en émotion).

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Lui, vu ce qu'il peut faire avec ses couteaux, je ne sais même pas pourquoi il s'embarrasse avec un pistolet.

Denzel Washington fait du Denzel Washington (un peu trop même), Chris Pratt fait du Chris Pratt (pareil) mais les autres sont bons. Juste bons ! Surtout le méconnaissable Vincent D'Onofrio, peut-être le meilleur de la bande.

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Hors-sujet total : Ce jeu est excellent. Euh... Voilà, voilà, voilà !

Antoine Fuqua ne livre certainement pas un film mémorable. On est loin du machin qui va marquer les esprits mais le casting, le scénario simple, les scènes d'action lisibles et l'ambiance générale font qu'on est dans le domaine du divertissement convaincant. En ce qui me concerne, je n'en attendais pas plus.

Note : Juste pour dire, avant le film j'ai vu la bande annonce de Brice 3. Vous pouvez me plaindre.

[EDIT de sf : Balises]



Message édité 6 fois. Dernière édition par size.fac le 30/09/16 à 18:38.


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007 Spectre

Article posté le 08/11/15 à 11:43

/!\ Contient forcément quelques spoilers mineurs /!\

Après un Skyfall qui avait remis les choses à plat autant au niveau de la réalisation que de l'importance accordées aux personnages au sein d'une série qui se souciait plus de déballage pyrotechnique et du placement produit, Sam Mendes, les réalisateur acclamé qui avait réussi à décrocher les faveurs du public rien qu'en filmant un mec qui se pignole sous la douche, se remet en difficulté en attaquant ce qui peut être apparenté à une suite direct et -presque- à une conclusion de l'ère Craig.

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Situation numéro 1 : Vous n'êtes pas plus que ça amateur de James Bond et vous comptez aller voir le film juste comme ça. Clairement, vous allez être largués ! Même si le film ne joue pas que là-dessus, il y a quelques références aux épisodes passés et un lien important entre eux. Ca n'empêchera pas de suivre les grandes lignes du scénario qui n'est, avouons-le, pas très recherché mais ça empêchera de comprendre quelques subtilités notamment le point de départ de ce voyage en solitaire (la bande vidéo envoyée à James) et les compétences de M sur le terrain.

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"Hail Hydra ?"

Situation numéro 2 : James Bond, c'est votre truc ! Alors là, il y a moyen d'avoir quelques chose. Pour ma part, on est certainement dans ce qui se fait de mieux en la matière. Peut-être pas le meilleur mais clairement le haut du panier. Même un poil au-dessus de Skyfall qui accusait une énorme baisse de régime avec un final à la Maman, J'Ai Raté L'Avion pas forcément du meilleur goût. Le film est long mais bien construit avec un dosage bien étudié entre les séquences qui font avancer l'histoire et les scènes d'action à vous retourner la gueule tellement elles sont bien faites. Les dialogues sont une nouvelle fois truculents et la petite animosité qui faisait le charme des rencontres entre James Bond et Q refait ici surface. On a aussi droit à pas mal de tension lors de nombreux face à face, notamment quand le héros rencontre un vieil ennemi, quand il s'entretient avec une cible potentielle ou quand il se prend un savon par son supérieur. Après une ouverture du meilleur cru (un plan séquence absolument incroyable), le film enchaîne très vite sur une voie qui va donner le tempo au film : Deux trames vont se superposer pour donner de la consistance à une histoire de vengeance qui n'en mènerait pas large sans ça. Pour être méchant, on pourrait dire que sur le fond, le scénario, c'est un calque de Skyfall. Un antagoniste en veut personnellement au héros. Voilà, ça ne va pas plus loin. En grattant, il y a un complot politique avec la suite du procès en cours démarré dans Skyfall concernant la pertinence du programme Double 0. C'est sûr, ça fera penser à du Hydra pour ceux qui suivent l'évolution du côté de chez Marvel (les amateurs de hentai apprécieront d'ailleurs le générique) mais ça permet de suivre l'histoire s'en avoir à se demander toutes les 5 minutes pourquoi le héros est à tel ou tel endroit.

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"Parce que moi aussi je me demande ce que je fous là."

Les lieux visités sont magnifiques et ils sont à chaque fois l'occasion de se décrocher la mâchoire quand on voit les cascades qu'ils génèrent. L'humour prend aussi une grande part dans le film avec des réparties qui donnent le sourire. Une fois de plus, le héros doit se passer de sa boisson favorite, une fois de plus, il tombe en rade avec les gadgets et une fois de plus, il se prend un méchant vent par une femme. Ca casse un peu les conventions et ça lui donne un côté casual forcément appréciable. Côté humain accentué par le côté vestimentaire qui sort du classique smoking impeccable et des situations desquelles il se sort sans la moindre égratignure. Bon, par contre, il a toujours ce côté sur-homme quand il s'agit de viser parfaitement. Les méchants ne se mettant jamais à couvert pour tirer, ça lui facilite aussi un peu la tâche.

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"Bouge pas, je tire !"

Pourtant, même si le film est réalisé de façon maîtrisée et qu'il fout le prochain réalisateur dans une situation très délicate (le mec, il a intérêt à savoir tenir une caméra), quelques défauts ou déceptions gâchent l'ensemble. En premier, je citerai Monica Bellucci qui ne sert absolument à rien. Je ne veux pas faire mon vieux connard mais son rôle est réduit et ne sert finalement qu'à la présenter en porte-jarretelles. Ok, le héros en retire un indice indispensable sur la suite de son périple mais bon, voilà quoi ! Toujours dans la série des petits bouts de femmes, Miss Moneypenny n'a plus qu'un rôle réduit. Elle n'est pas limitée à la potiche comme dans trop de films, elle aide le héros mais passée l'assistance téléphonique qu'elle lui procure, elle est effacée et dans le dernier acte elle n'est plus que là histoire de rappeler qu'elle existe. Ensuite, le méchant. Il y a en a plusieurs dans le film mais le méchant, le vrai, celui qui promettait beaucoup, ben il est méchant, il est mégalo, il va déployer des trésors d'ingéniosité pour se débarrasser du héros mais compte tenu de son potentiel et de ce qu'on attendait de lui, il est à des brassées derrière pas mal d'autres. Il est bien, si, mais c'est juste qu'on attendait plus de lui. A qui la faute ? Et au final, la déception est presque plus de la tristesse car le film met fin à sa façon à pas mal de points qui avaient débutés avec l'excellent Casino Royale. Ca rappelle juste que l'ère Craig va bientôt prendre fin. J'en étais arrivé à un point où je me suis presque dit que, ça y est, ils vont le faire crever. Parce que dans ce film, le James, il morfle ! Il y a bien deux moments durant lesquels l'intensité a grimpé en flèche. Mais pas un peu, hein, carrément de façon à faire péter le plafond que l'on connaissait. Il survit mais il s'en fallait de peu à chaque fois. Oh ! Et la James Bond Girl, elle est juste WAHOU mais ça, ce n'est pas très objectif.

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sf approved !

Sérieusement, le film est bon. C'est un bon film d'action, c'est un excellent Bond. Et il surprend ! Peut-être pas au niveau de l'histoire mais au moins au niveau de la mise en scène. Pour une série qui compte plus de 20 épisodes, c'est déjà pas mal.


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Avengers: L'ère d'Ultron

Article posté le 23/04/15 à 09:54

Aïe Hydra !

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La tronche de l'équipe après la projection du film.

Rappel des faits : A la fin du premier film réunissant (tous) les Avengers, chacun part grosso merdo de son côté. Le Captain America va dérouiller du nazi mais pas tout seul parce que sans le derrière parfait de la Veuve Noire c'est moins vendeur. On réalise alors que le S.H.I.E.L.D. est corrompu et qu'il faut tout péter. Ok, voilà, on y est !

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C'est dommage, ça avait l'air bien.

Avengers : L'Ère D'Ultron démarre alors que tout le monde est déjà réuni. On ne sait pas par quelle opération du Saint Esprit le groupe est de nouveau ensemble, on ne sait pas comment il a su qu'il fallait aller là, on ne sait pas comment il a su qu'une arme bien connue était planquée ici, on ne sait même pas comment cette même arme se retrouve ici dans les mains ennemies (il y a tellement de films que j'ai forcément du en louper un) mais c'est pas grave car tout démarre sur un putain de plan séquence qui m'a vulgairement dit : «T'as vu ! On a les moyens ! »

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C'est dommage, ça commençait bien.

Pour faire simple, voilà comment je me positionne : J'ai sincèrement adoré le premier film avec les Avengers . Je ne suis pas un grand amateur de la série Marvel, je ne sais pas comment approcher le machin. Je suis juste le spectateur lambda qui aime bien aller au cinéma de temps en temps pour se détendre. A côté de ça, j'avais trouvé que la série Marvel (dans sa globalité) commençait à dangereusement pencher du côté de la paresse intellectuelle avec les deuxièmes aventures du Captain America qui n'était à mes yeux ni plus ni moins qu'un Avengers 1.5. Ici, on ne penche plus. On est carrément tombé dedans. Je m'explique : Lorsque le premier film se concentrait sur la difficulté à rassembler des personnages aux intérêts pas toujours évidents à cerner, le second essaye comme il peut de trouver un adversaire à leur hauteur. Le problème est que sur toute la durée du film, cet adversaire n'arrive jamais ce qui fait que le scénario multiplie les twists foireux pour forcer les héros à s'affronter entre eux. D'où un déjà vu énervant appuyé par des questions qui restent sans réponse et un méchant en demi-teinte qui ne fera jamais rien de vraiment concret.

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J'ai les yeux rouges donc je suis méchant.

On détaille :

- Les Avengers sont gentils. Un facilité scénaristique (une variante de l'illusion du Phoenix si vous voyez la référence) rend le Hulk agressif. On envoie Iron Man pour le canaliser mais comme les autres font un bad trip, ben il doit se démerder seul. Des prétendus méchants retournent très vite leur veste (les méthodes nazis ne sont plus ce qu'elles étaient) mais restent suffisamment longtemps entre deux eaux pour tataner proprement la gentille troupe. Le gros méchant arrive sans problème à se créer une armée de robots pour donner de la consistance à un final qui aurait fait pâle figure à côté du premier s'il s'était retrouvé seul. A ce sujet, la bande annonce est bien foutue puisqu'elle ne reflète en rien les événements du film. D'ailleurs, sans spoiler, un petit jeu comme ça : Essayez de deviner après les 20 premières minutes du film qui va voir le générique de fin et qui va y rester ! Vous verrez, c'est marrant !

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Une armure dans une armure ? Armureception !

- Dès le début, Hydra reste un ennemi puissant et organisé qui semble vouloir protéger quelques armes dont les jumeaux (qui sont en fait deux grosses fiottes très loin de ce qu'on veut bien nous montrer à la fin de je ne sais plus quel film) et une autre nettement plus mystérieuse. Passé l'ouverture, on n'en entend pratiquement plus parler. Plus rien ! Balayé ! A ce sujet, comme un des "méchants" court très vite, si vous vous attendiez à voir une scène au ralenti à faire passer celle d'un des films avec les X-Men pour de l'amateurisme, vous aller être déçus. On revient sur ce sujet plus tard dans le film mais dans un contexte complètement différent, comme si on recyclait un décor parce que... parce que ta gueule ! Donc Hydra et son arme mystérieuse disparaissent (jusqu'au prochain film ?)... Vraisemblablement pour de bon puisqu'on se permet de faire la fête... Pendant justement qu'un virus prend le contrôle d'une armure de Stark.

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Si je cours dans un train, est-ce que j'arrive plus vite à destination ?

- Ce qui nous amène au méchant... Intelligence artificielle créée à la base d'ans un but noble mais sans avertir les autres de la même façon que Nick Fury créait une armée dans le premier pour arrêter une possible attaque extra-terrestre. Donc là, un méchant arrive et en deux temps trois mouvements il décrète qu'il va détester les Avengers parce que c'est comme ça et qu'il faut en plus péter la gueule de la population d'un patelin en Pologne (où je ne sais où mais ça y ressemble) pour la bonne forme. Par comparaison, là où l'héroïne du long métrage Le Cinquième Élément mettait tout un film à apprendre à croire en l'espèce humaine malgré ses défauts, ici, c'est l'inverse. Dès le début il faut tout balayer sans pousser le raisonnement plus loin. Ce qui aurait pu, ce qui aurait du être un méchant énorme et incroyablement puissant se fait exploser (littéralement) à chaque rencontre et se fait damer le pion par d'autres scènes d'exposition dont je n'avais strictement rien à secouer. Apprendre qu'un des héros a une vie de famille pendant que deux autres flirtent entre eux, j'ai même trouvé ça honteusement gênant. Le méchant, il est juste là pour détester les gentils et les humains. Pour de l'intelligence artificielle, j'ai vu mieux.

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Vu comme c'est parti, dans le prochain film je pense qu'on aura carrément droit à la scène de cul entre eux deux.

Donc, au lieu de détailler ce qui était (me semblait) important, on flâne sur des scènes d'action parfaitement maîtrisées (sauf une) (le sauvetage dans la voiture qui tombe) (ouille tellement j'ai trouvé ça mal fait) et on s'emmerde avec les héros qui coupent des bûches de bois (sérieusement).

Finalement, le film ne servait qu'à apporter quelques nouveaux personnages à un univers qui commence sérieusement à en compter trop (et attention les fautes de goût à ce niveau) et à monter une des nouvelles pierres qui font tout péter si on les touche (ou un truc dans le genre). Mais voilà, on ne la touche pas, on la fait voler, on la place sur un front et hop elle lance des lasers. Ouf, on est sauvé !

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A son apparition, je ne savais pas si je devais me marrer ou avoir honte.

Le premier film valait le coup rien que pour le rassemblement des Avengers, cette scène incroyable durant laquelle ils se retrouvent après près d'une heure trente de dissension. On sent la puissance de l'équipe, son courage, sa volonté de sauver le monde. Avec ce deuxième film, ce n'est pas le cas. J'ai trouvé que ce n'est pas le cas. On les voit patauger face à un ennemi pas puissant (un bête robot qui transfère ses connaissances dans un autre robot dès qu'il se fait déglinguer) et idiot de façon énervante. Il semble pouvoir tout contrôler mais reste incapable d'interférer avec une petite troupe qui même si elle reste puissante na pas la possibilité d'être partout en même temps. Donc en gros, oui, Ultron, c'est de la chair à canon pour faire croire que les Avengers ont trouvé un adversaire à leur hauteur. Mais comme on les a trop vite mis sur un piédestal, leur hauteur n'est en fait pas si élevé que ça. En espérant que tout ce petit monde revienne vite sur terre parce que là, si sur le plan visuel c'est maîtrisé, sur le plan du divertissement, ça fait la deuxième fois que je sors de le projection d'un de ces films en étant déçu.

Pour finir sur une note positive, deux moments sympas : Le marteau de Thor (qui sert de gag récurrent à deux autres reprises) et la scène lorsque le l'archer recrute un Avenger supplémentaire. Mais ça fait peu au milieu des autres moments gênants qui viennent ternir le film.

[EDIT de sf : Correction]



Message édité 3 fois. Dernière édition par size.fac le 23/04/15 à 09:59.


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Disney Infinity 2.0 - L'infini, ça y est, on y est !

Article posté le 28/12/14 à 18:49

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A imaginer avec la musique de l'écran titre ! C'est tout de suite mieux.

Avec un tout petit recul mais une énorme expérience sur le premier, je vous donne mon avis sur le second jeu de la série.

Pour commencer, le négatif :

- Les aventures propres à chaque personnages disparaissent.

Dans le premier jeu, une figurine ouvrait l'accès à un mini-jeu pas toujours travaillé mais qui avait l'avantage de donner des idées pour ses futures créations. Maintenant, ce n'est plus possible. Une figurine, c'est juste de la collection. Juste ça ! Et peut-être un accès supplémentaire à une des aventures mais ce n'est pas nécessaire.

- Les aventures du 1 ne sont pas compatibles.

Je ne vous ai dit que du bien du pack de départ avec ses 3 aventures de bas. Elles étaient immenses, bien faites, sympa... Ces dernières n'ont pas été transférées sur la suite. Le trophée qui leur donnait accès dans le premier ne servent ici "qu'à débloquer tout le contenu" qui vous permettra de les recréer comme bon vous semble. Vous me direz, c'est déjà pas mal !

- L'aventure proposée avec la version que j'ai ne m'a pas emballée. Elle implique les Avengers, elle est bourrée d'humour mais je n'ai pas trouvé le même charme qu'avec celles du premier. Question d'ambiance, je pense. Dans un autre contexte (Frey' ?), ce serait certainement différente.

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Bien mais pas top !

Maintenant le positif :

- I-M-M-E-N-S-E ! ! !

Autant j'avais trouvé que le premier était vaste et complet autant je trouve cette suite sans limite... Jusqu'à ce qu'on me montre à quel point j'ai tort (la suite ?). Clairement, les développeurs ont pris en compte les reproches/recommandations formulées après la sortie du premier et ont corrigé le tir ici. On peut enfin entrer dans les bâtiments, on peut interagir avec les PNJ sans que cela soit limité à leur foutre un coup de pied au cul (malheureusement authentique), on peut tout paramétrer/personnaliser, il y a un tutoriel (très utile), on a des modèles pour créer facilement des tas de jeux marrants (libre à chacun de les personnaliser ensuite), l'ambiance est autant Marvel que Disney (Pixar est en retrait) avec une impressionnante ouverture pour nous en convaincre (sur le thème d'Aladdin) et surtout, surtout, un aspect "consommation" largement moins imposé qu'avant.

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Jusqu'ici, rien d'anormal !

Je développe.

Dans la premier, l'évolution du jeu (pas la progression) était conditionnée par l'achat de figurines supplémentaires. En gros, pour débloquer les éléments du monde des pirates, il me fallait les trois figurines de l'univers ainsi que le monde qui va avec. Le monde, on l'avait dès le départ mais pas toutes les figurines... Et concernant Cars, ben il fallait carrément tout raquer pour avoir la possibilité de se créer un monde digne de ce nom sur cet univers.

Dans la suite, c'est partiellement le cas. Tout ce qui concerne les univers Marvel doit être monétairement acheté. Mais ça reste "correct" car ça insinue juste deux trophées (à 20 boules environ chacun). Les figurines ne servent à ce niveau "à rien" (tout juste débloquer un avatar dans le jeu). Le jeu a automatiquement débloqué tout ce que j'avais obtenu dans la premier et de l'argent virtuel (les éclairs bleus) me permettent de débloquer le reste. Donc je peux avoir accès aux éléments de Toy Story et de Lone Ranger sans avoir les trophées correspondants. Si vous achetez le 2 sans avoir le premier, tout le contenu du premier est déblocable avec le temps. Et croyez-moi, ça pèse lourd !

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S'il n'y a pas assez de bordel à l'écran à votre goût, libre à vous d'en rajouter un peu plus.

En plus, le jeu physique, quelle que soit la version est vendue avec deux disques qui permettent de débloquer deux petites aventures qui offriront encore plus de contenu original. Moi, j'ai une mission d'évasion sur le thème Les Gardiens De La Galaxie (pas top) et une aventure sur le thème de Thor (pas encore essayé). L'autre pack propose une aventure dans le monde de Stitch et une autre dans le monde de Rebelle. Si vous avez un pack mais pas l'autre, sachez que les deux disques propres à chaque packs peuvent être achetées indépendamment (environ 5€ le pack de deux disques). Ce n'est pas tant l'aventure en elle-même qui est intéressante mais tout ce qu'elle propose. Ainsi, on a encore plus de possibilités, plus de choix, plus d'idées. Et, comme dit, on peut enfin créer les intérieurs des bâtiments. On fait ce qu'on veut et à ce moment, le jeu prend même une petite dimension "simulation de vie" (Les Sims ?) surtout parce qu'on peut définir les interactions, décorer les pièces, rajouter un chiotte, une cuisinière, une cheminée. Indispensable, vous pensez bien.

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Par où commencer ?

Là, dès le départ, j'ai de quoi créer une cabane immense dans les arbres, j'ai de quoi créer un monde dans l'univers de la Fée Clochette (obligé !) et j'ai tout plein d'autres choses que je n'ai pas encore pu essayer tellement j'ai de choses à faire avec ce que j'ai déjà. De plus, pour ce qui est du "déblocage avec le temps", le jeu donne clairement les points. Si vraiment vous voulez tout débloquer, c'est l'affaire de deux heures. En tournant en rond dans la première ère de jeux, vous pouvez générer à l'infini ces fameux éclairs bleus que vous pourrez échanger contre de quoi construire vos niveaux. Angle de vue, épreuves, actions, dialogues, récompenses, décors... Ca y est ! Vous pouvez enfin faire un peu tout ce que vous voulez.

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Il faut acheter les jouets dans l'ordre mais c'est bien la seule contrainte de cette version. Là, vous avez une page sur un total de quoi... 50 ? 60 ? Il y a de quoi faire, vraiment !

Je prévois d'acheter le pack Aladdin en février prochain (deux disques supplémentaires et deux figurines) et les deux disques d'aventures du pack que je n'ai pas, juste pour le plaisir de jouer sur la plage de Stitch. Je ne suis pas encore décidé pour le pack Les gardiens De La Galaxie mais celui avec l'homme araignée ne m'intéresse pas du tout. Pas grave, rien n'est indispensable dans ce jeu... Surtout que...

Surtout que si jamais vous ne vous sentez pas l'âme d'un créateur, sachez que le jeu propose déjà une très large gamme de niveaux créés par d'autres joueurs. Cerise sur le gâteau, le 2 propose en même temps tous les niveaux créés pour le premier qui continue à être régulièrement alimenté.

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Une partie "normale" finit souvent par ressembler à ça...

En gros, il y a autant pour les grands enfants que pour les plus jeunes. Même si la fluidité des combats aurait pu être améliorée, le jeu s'en tire pas trop mal notamment grâce à un arbre de progression propre à chaque héros. Le contenu déblocable est impressionnant et on entre donc dans la catégorie "suite qui en vaut le coup". Même après avoir torché le premier en long, en large et en travers, je me sens d'attaque pour investir une nouvelle centaine d'heures dans cette version. C'est sûr, il faut aimer le genre. Il s'avère que moi j'aime.

Et pendant que je rédige cet article, j'ai deux poupettes derrière moi qui s'éclatent depuis 20 minutes dans un niveau fait d'un petit chalet et d'un extérieur enneigé dans lequel elles peuvent virtuellement s'envoyer des boules de neige tout en balançant les autres personnages dans le vide. A la base, le niveau n'a certainement pas été étudié pour ça mais ce n'est pas grave, elles peuvent bien faire ce qu'elles veulent dans ce jeu.

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"Because fuck you, that's why !"



Message édité 1 fois. Dernière édition par Chann le 28/12/14 à 23:32.


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Interstellar : C'est scientifique, ta gueule !

Article posté le 07/12/14 à 13:41

Article qui n'a aucunement pour vocation de vanter les qualités du film, des tas de personnes l'ont déjà fait. Autant se poser comme celui qui n'a pas envie de les voir. Parce que de mon point de vue, ce film, c'est du vide.

NOTE IMPORTANTE : Ne pas lire ce qui suit si vous comptez voir le film vu que ça spoile à tout va !

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Point de départ intéressant et superbement amené notamment grâce à des acteurs incroyables, ce qui est exceptionnel quand on voit d'où certains d'entre eux viennent (Massacre A La Tronçonneuse : La Nouvelle Génération, Cliffhanger... La crainte était permise) mais qui est vite plombée par un découpage que je n'ai pas compris. Dans un sens, c'est bien parce qu'en trois film hors Batman du même réalisateur, ça fait trois fois que je m'emmerde prodigieusement et que je ne m'implique aucunement dans ce qu'on me raconte (Memento et Inception étant les deux autres). Signal d'alarme enclenchée de façon définitive : Je n'aime pas Nolan.

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"Je suis un génie, je fais ce que je veux."

Les scientifiques sont des cons ! C'est tout ce que j'ai retenu de ce film.

En premier lieu, si tout ce beau monde n'a pas trouvé un moyen de faire pousser autre chose que du maïs, il ne fallait pas s'attendre à des miracles concernant le plan B. On envoie des embryons à la pelle dans l'espace... Mais un seul utérus ? Un seul foutu utérus pour repeupler toute une planète ? Et pas qu'on vienne me dire qu'un autre système a été secrètement mis au point pour arriver au résultat attendu. Il est clairement dit au début du film que la NASA est fauchée comme le blé (c'est dire). Et si on n'est pas capable de faire pousser du blé, faire germer des embryons, je n'y crois pas une seconde. Donc de mon point de vue, le plan B était aussi fiable que le plan A.

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"NASA : Non Aux Solutions Aléatoires. Nous, ce qu'on vise, c'est l'échec à 100%. Et on y arrive plutôt bien."

Le plan A, parlons-en ! Quand tu déboules sur une planète que tu te fais accueillir par une vague de la taille de la connerie du scénar' mais que tu penses quand même que la boîte noire du vaisseau qui s'est éclatée 15 minutes avant va te donner des informations qui permettront de savoir si tu peux venir vivre ici, c'est que tu as un wagon de retard ! Passons l'absence totale d'aspiration qu'aurait du provoquer la vague, n'oublions pas que c'est scientifique + Nolan donc absolument parfait sur le plan logique (Si ! Ta gueule !), en moins de 30 secondes, le robot le moins fonctionnel inventé à ce jour pour un film de ce gabarit (oui, je sais à quoi il fait allusion mais ça ne veut pas dire que c'est pour autant une super idée) arrive à dégager la connasse, la foutre dans le vaisseau, il arrive lui-même à se mettre à l'abri... Mais on oublie le barbu ? Non, juste non ! A ce moment, j'ai soupiré tellement j'ai trouvé cette scène inutile ! Un peu comme si pendant que toute la scène se passe le mec s'était contenté de rester planté sur place en se demandant si ça allait choqué quelqu'un ou non.

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"Il faut me sauver au nez et à la barbe de l'autre. LOL !"

Parce que les transitions, c'est pour les tapettes, on passe tout de suite à autre chose. Bordel, ça fait 23 ans qu'on est là en bas ? Et sinon, toi ça va ? Hop, on va sur la prochaine planète ?

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"Quoi ? J'ai raté 23 fois Noël ?"

Aspect pour ainsi dire classique avec les films de ce genre, il faut un traître. Je n'ai pas trouvé ça surprenant, ni même choquant. Franchement, ce passage ne m'a pas posé problème, surtout parce qu'il se termine avec la scène la plus incroyable du film : L'explosion ! Punaise, cette explosion ! Ce qui m'amène donc à la bande son du film. Passe encore que Zimmer pompe comme un cochon sur Williams en faisant croire qu'on peut faire une bande son complète simplement en alignant les deux mêmes notes à tout bout de champ. Passe déjà moins que les moments les plus incroyables du film sont justement ceux durant lesquels on entend strictement rien ! Ca, c'était presque le plus flippant : Le vide ! L'absence, le néant, le rien ! Mais ouf, on est sauvé, le héros a son baladeur mp3 qui fait des gazouillis d'oiseau avec des bruits de flotte. Moi, perso, ça m'a juste donné envie de pisser, mais bon !

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Au début, j'ai cru que c'était Sauron...

Matthew McConaughey est pour ainsi dire impeccable durant tout le film. Je pense même qu'un grande partie du génie du film repose sur sa capacité à donner l'impression qu'il a le parfait contrôle de la situation mécanique mais qu'il est complètement désemparé face à la situation humaine. Or, lors de la séparation, c'est « Bon, ben il y a un trou noir... A plus ! ». Hop, je fonce dedans mais tout va bien se passer parce que mon copain scientifique (donc d'avance « ta gueule !») l'a dit... Le même copain scientifique qui n'a pas été foutu de comprendre avant qu'il le carbonise que l'iPod géant (blablabla) avait été bidouillé. Mouais ! Donc hop, et fuck-off les failles spatio-temporelles, je fonce dans le trou du cul de l'univers. Mais comme j'en ai une paire plus grosse que les deux planètes d'où on vient de se faire jeter, en plus, je m'éjecte.

Et là... Non, juste non !

Je n'ai strictement rien contre la supposition que l'on peut retourner dans le temps. A ce niveau du film, je n'étais plus à ça près. Même si Dr. Kip Thorne est un savant super calé dans son domaine et qu'il a dit que c'est comme ça que ça se passe, que c'est scientifique et que ta gueule, cette scène, elle n'est pas passée. Pas du tout passée ! Rien à foutre de l'hypothèse médiocrement réduite qui suppose que la fille comprenne le message transmis par son père via la montre ! A la rigueur :« Merde, elle est cassée, hop poubelle ». Fin de l'humanité à cause d'une montre Swatch ! Personnellement, j'en aurais ris. Rien à foutre de l'incohérence absolue lors de la retrouvaille finale entre le frère et la sœur ! « Tu kidnappes ma famille, tu brûles mon héritage et tu m'annonces que notre père s'est réincarné dans une montre ? FREE HUG ! ! ! » Encore moins à cirer du « Ouais, on est dans un trou noir mais je retrouve mon Transformers 're) ! Ouf, sauvé !». En revanche, si le Cooper du présent arrive à communiquer avec le Cooper du passé, qu'il transmet les coordonnées d'un endroit jugé introuvable (Tu parles : Un chemin protégé par un simple grillage, bonjour la planque!), qu'il sert la main de Catwoman, qu'il balance même la réponse au Sudoku qui colle tout le monde ("Eurêka !" Là, c'était juste gênant) et donc qu'il arrive à faire pousser du maïs la tête en bas (je balance pèle-mêle mais l'idée est là), tout laisse supposer que c'est lui et lui seul qui se reconduit perpétuellement jusqu'à ce point précis. Il va même jusqu'à l'expliquer au spectateur tellement il redoute l'effet Inception ("J'explique lentement pour les teubés qui n'ont pas compris : Le fantôme, c'est moi ! ! !"). Donc, Cooper, c'est celui par qui tout démarre... Ok, dans ce cas, d'où vient le disque de verre au début du film ? Sans ce point de passage, pas de trou noir, pas de communication dans le temps, pas de solution ! Ca signifierait que dans un espace temps « autre », « les autres » (à savoir eux-mêmes) (ouais, c'est conceptuel, je sais) (pas conceptuel, scientifique) (donc ta gueule) auraient abandonné l'idée de bouffer des Frosties pour créer un point de passage pour voyager plus vite dans l'espace ? Ou alors le trou de verre est apparu tout seul comme un grand. Quoi qu'il en soit, pente glissante, peut-on m'expliquer en quoi Interstellar est un film super mais que Event Horizon est à chier ? Si vous ne l'avez pas encore regardé, je vous invite à le faire, vous devriez y voir une ENORME similitude impliquant une feuille de papier et un stylo. Sauf que l'utilisation de cette théorie n'entraîne pas les mêmes conséquences. Ah ouais, mais Interstellar, c'est Nolan et Event Horizon, c'est Anderson, j'avais oublié !

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"Ah ouais mais non, parce que, euh, en fait, dans Event Horizon, l'explication elle est, euh, alors que dans Intersellar elle est, euh... Ta gueule !"

Au final, qu'on compare ça à un happy end ou à une fin tragique (bien fait pour la gueule d'Hathaway) m'importe que très peu. Ce que j'ai plus de mal à comprendre, c'est pourquoi on devrait dire du bien de ce film tout en dénigrant, par exemple Sunshine qui pour le coup m'a nettement plus pris aux tripes. Même Mission To Mars et Planète Rouge m'ont semblé moins inutile. Parce que personnellement, Intestellar ne m'a pas apporté grand chose et j'ai franchement trouvé qu'il n'avait de toute façon rien à raconter dès le départ. Et puis le maïs, c'est super bon !

[EDIT de sf : Balises ]



Message édité 1 fois. Dernière édition par size.fac le 07/12/14 à 17:05.


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