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Blork & size.fac > Articles de Thibault de Mondidier

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La caverne du delaygamer

Ici je teste les jeux qui me plaisent mais avec l'oeil d'un joueur radin et habitué aux jeux de la génération ps3 et 360

13 e test : No more Heroes sur Wii.

Article posté le 15/08/12 à 08:24

Bonjour à tous.

Attention. Vous vous apprêtez à lire le test maudit du delaygamer. Il s'agit du 13 e test. Treizième test, en 2012, à moins de 5 moins de l'Apocalypse ! J'espère que vous avez chassé votre chat noir, pris vos pâtes de lapin et fait 7 fois le tour la table pour vous protéger de la poisse que vous aurez acquis après la fin de ce test. Nous allons entrer dans un monde fou, avec sa logique, son Geek et ses femmes parfaites. Bienvenu dans le monde de No More Heroes, premier du nom sur Wii.


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Combien on va payer ?


O joie, O espoir. Avec ce jeu vous allez pouvoir vous éclater. Car le radin que je suis pense à vous. Je vous annonce que pour avoir l'air d'un imbécile auprès de votre copine qui croira plus que vous faites des choses douteuses avec votre wii, vous n'aurez qu'à dépenser entre 4 et 10 euros pour obtenir ce titre.

C'est parfait. Une aventure barrée, des belles femmes et aucune logique.



Point radin validé !



Le jeu : Que vaut-il ?



Les graphismes.


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Bon, je vois déjà les défenseurs de la ligue du pixel parfait huer contre cette image. Heu, rappelez moi sur quoi on joue ? Ah oui sur la Wii. Bon au delà du fait que vous avez du enlever une couche de poussière de un centimètre pour cause de non utilisation, vous savez très bien que quant on joue à la Wii ce n'est pas pour un modèle de beauté absolue. Mais No More Heroes fait des choix : Des éléments rétro gaming assumés comme si votre Nes s'était invitée à l'écran pour les icônes. Les textures sont volontairement minimalistes pour donner une véritable identité : Le sang est pixelisé en noir pour renforcer le côté rétro. Bref on a une identité graphique indéniable qui ne plairait pas à tout le monde, mais on a un peu l'idée de Nintendo qui ressort : Faire du bon avec une technologie certes dépassée mais c'est maitrisé.



Point « rétine satisfaite »: Validé.




Le gameplay :



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Suda 51 a réussi le tour de force d'exploiter correctement la Wii. MERCI !! Enfin un qui pense au gamer. La Wiimote et le Nunchuk sont au centre d'un système de combat à la fois simple et complet, mais surtout très dynamique.

Certes un petit tuto est nécessaire pour comprendre les quelques subtilités du jeu, mais cela se prend vite en main, et on a qu'une hâte : Buter du sbire. Coup de pied, parade, esquive, prise de catch : Vous devrez maitriser tout cela si vous voulez devenir the number 1. Par contre, votre charisme explosera quant vous devrez faire un finish pour achever votre adversaire : Suivez les ordres de la Wii et même votre moitié sera sur le cul. ( Pour ce que fait Trevis à l'écran, bien sur, vous elle vous ignorera. )

Avec un gameplay aussi simple, vous allez prendre un certain plaisir sadique et cathartique à faire le nettoyage par le vide en agitant votre sabre laser.

Mais...parce qu'il y a toujours un mais, entre deux missions, vous devrez faire des petits jobs pour gagner de quoi vous customiser : Mais se déplacer dans la ville sur une moto très rigide sera fun que les 5 premières minutes. Après c'est comme le taf : On râle mais il faut le faire. Surtout quand une caméra un peu trop rigide vient alourdir l'expérience.



Mais ces deux petits points noirs ne viennent pas altérer mon jugement.



Point « je prends des crampes au pouce à cause du gameplay » : Validé.



Le scénario :


Vous rêviez d'être un otaku qui passe sa journée à soigner son look, à chouchouter son chat et à regarder du mangas toute la journée ? Alors devenez Travis Touchdown. Vous vivrez dans un motel minable où vous ne sortirez que pour acheter des fringues. Mais dans cette vie de geek un événement va tout changer : Vous avez acquis un sabre laser sur E-bay. Mais tuer...bof, la routine. Vous le faites déjà tous les jours sur console. Par contre, si une bombe vous annonce que si vous gravissez les dix marches de la gloire en affrontant les assassins, elle vous offrira une nuit avec elle, vous ne seriez pas tenté ? Tuer et vous aurez droit à l'extase...voilà la promesse, mais attention, c'est comme dans un contrat : Y a toujours quelques conditions en tout petit.

Vous affronterez de tout, du barré, au grotesque, passant par le torturé ou l'extravagant. Chaque assassin a son background sans logique mais c'est pas grave. On adhère très vite.



Le scénario est simple et terriblement accrocheur : Point père castor raconte moi une histoire : Validé.





En conclusion, No More Heroes : C'est du barré, du fan service, alors dépoussière vite ta wii et saute sur l'occasion de passer une vingtaine d'heure de plaisir avec Travis Touchdown.



Message édité 2 fois. Dernière édition par Thibault de Mondidier le 15/08/12 à 08:28.


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12 e test : Fahrenheit sur PS2

Article posté le 31/07/12 à 08:34



Les jeux vidéo c'est tout est n'importe quoi. Certains proposent donc des expériences vraiment différentes. Et avant la polémique proposé par David Cage avec Heavy Rain sur PS3, il a débuté avec Fahrenheit sur PS2 en 2005.





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Combien allez vous payer ?





Le radin qui est en moi est aux anges avec ce jeu. Vous le trouverez sur sur PS2 si vous acceptez de mettre en 2 et 10 euros. Que du bonheur. Par contre, encore une fois, vous devrez ressortir votre PS2 du placard. Non rétrocompatibilité de votre PS3 oblige.



Point radin validé.





Le jeu : Que vaut-il ?



Les graphismes.




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Pour la PS2 c'est tout à fait classieux. Les visages des protagonistes sont parfaitement modélisés, les sentiments qu'ils expriment sont bien véhiculés, les décors sont fins bien que parfois un peu vide...et les couleurs choisies donnent une identité à chaque lieux que vous visitez. On est ici en présence d'un cas qui est arrivé dans l'âge d'or de la console.



Point graphisme : Validé.







Le gameplay



Alors ce n'est pas un, mais trois gameplay que ce jeu nous propose :



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Les phases d'interactions Ou vous devrez avec l'aide des deux joystick uniquement faire des choix dans le cas des interrogatoires.

Vous aurez un temps limite pour répondre ce qui vous pousse à vous impliquer dans cette histoire. C'est un peu déconcertant au début surtout que vous vous trouvez dans une situation stressante qui vous demande d'aller vite alors que le gamplay vous est encore inconnu.



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Vos choix auront bien sur des conséquences sur le déroulement du scénario certes mais aussi sur l'état psychologique de votre personnage : Vous devrez éviter de le faire sombrer si vous ne souhaitez pas voir sa mort arrivé prématurément.



Vient ensuite les phases d'explorations : Avec l'aide des deux joystick vous devrez découvrir des indices ou vous déplacer. Presque aucun problème dans ces phases si on excepte la caméra qui fait parfois n'importe quoi en se positionnant dans un angle pas avantageux.



Et enfin les phases QTE : Ici, vous devrez suivre des actions en suivant un code de couleur à la lettre. Si vous vous trompez trop souvent, c'est le game over. Ces phases sont parfois agaçante car si vous vous trompez vous devrez recommencer au début de l'action.


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Mais dans l'ensemble c'est une expérience inédite et intéressante : Je valide le point gameplay.




Les sons et les musiques :



Pour les musiques, rien de transcendant. Elles vous mettront dans l'ambiance le temps du jeu tous comme les sons qui se veulent réalistes. Mais une fois le jeu terminé vous n'aurez presque aucun souvenir de ces musiques ou ces sons. Par contre, je salue les doubleurs français pour leur travail plus que correcte : Des voix qui vous serons connues : Pour l'inspectrice ils ont choisis la voix française de Angélina Jolie, pour l'inspecteur le doubleur français de Will Smith et pour le héros principal : Celui qui se charge de Ben Affleck.



Point validé pour musique et son.



Le scénario.




Au début, on est sous tension dans une enquête policière. C'est nouveau, c'est frais, c'est rafraichissant. Rapidement le fantastique prend le dessus et on se retrouve devant un sentiment de déjà vu. ( Scènes à ma matrix. ) Mais on accroche et on va jusqu'à la fin qui est un peu abrupte et rapidement menée. Si vous voulez le jeu au niveau des choix se faire se présente comme un losange. Vous avez un éventail de choix croissant jusqu'au milieu de jeu et rapidement ses choix diminuent pour vous mener à la fin qui est en gros la même avec juste quelques variations plus ou moins importantes. ( Syndrome Mass Effect avant l'heure. ). Comptez une dizaine d'heures pour finir ce jeu une première fois. Mais la replay value est bonne car les bifurcations sont nombreuses et vue la durée du jeu relativement faible, il est facile de recommencer.



Point histoire validé.





Conclusion



David Cage avant Heavy Rain nous propose Fahrenheit. Il serait dommage de passer à côté de ce jeu. Comme son petit frère, ce jeu propose une expérience différente. Pas exemptes de défauts mais intéressante malgré tout.



Message édité 2 fois. Dernière édition par Thibault de Mondidier le 31/07/12 à 13:04.


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11e test : Under the killing moon ( PC)

Article posté le 20/07/12 à 09:34

Bonjour à tous.



Aujourd'hui, on va tester un jeu de 1994. A cette époque, la 3D était naissante et un genre était encore à la mode : Le point et click avec des acteurs incrustés dans un environnement en 3D. Oui, le film interactif a eut son âge d'or pendant les années 90. Aujourd'hui, il est de mon devoir de vous faire connaître ce jeu que beaucoup considèrent comme un must : Tex Murphy Under the killing moon.





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Combien allez vous payer ?




Vous connaissez à présent mon côté radin : Les meilleurs jeux pour un prix ridicule. Under the killing moon, au vue de son âge vous est proposé en abandonware :



L'abandonware consiste à proposer en libre téléchargement d'anciens jeux qui ne sont plus disponibles dans le commerce à ce jour, et ce, depuis longtemps, et dont le service après-vente a été lui aussi abandonné.

Cette pratique est illégale et n'est que tolérée actuellement.

Voilà vous êtes prévenu. Pour ma part, je possède encore le jeu sur deux CD mais il y a tellement de bugs que ce soit en Virtualisation ou en compatibilité Windows que c'est devenu impossible à jouer et peu agréable.



Aussi allez sur cette adresse et pour un téléchargement de 1,3 GO vous posséderez le jeu prêt à être installé sur tous les PC.



http://www.abandonware-france.org/ltf_abandon/ltf_jeu.php?id=719



Et là, que du bonheur. Vous installez le jeu sans rien changer. Vous pourrez ensuite jouer et savourer.



Donc là le point radin est validé.





Le jeu : Que vaut-il ?



Les graphismes.




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Ah oui. Après avoir vu cette image, votre rétine doit un peu souffrir. Comme je l'ai dit en introduction, nous sommes au tout début de la 3D. Tout est pixélisé surtout vous dépasser une fenêtre de 640 par 480. Les décors sont laids pour un oeil habitué à la full HD : Un exemple : Vous voyez les mannequin en carton sur la route donnant l'illusion que quelqu'un vous surveille en uniforme bleu mais une fois à la hauteur vous réalisez la supercherie ? Et bien pour bon nombre d'objets du décor c'est pareil. Mais il fallait bien cela pour soulager la carte graphique. Mais ce jeu en 1994 était un pionnier : Il utilisait pour la première fois, la full motion capture : 25 images par seconde, une révolution. Il utilisait aussi la technologie toute neuve du CD à sa pleine capacité : On a donc des cinématiques avec de vrais acteurs incrustés par fond vert. Mais cela a vieillis et aujourd'hui cela peut rebuter....mais malgré que je ne valide pas ce point, ne vous arrêtez surtout pas à ces détails !



Point graphisme non validé.






Le gameplay




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Le gameplay est un peu délicat pour ceux qui ne sont pas habitués : C'est la combinaison clavier souris. Entendez par là, le clavier est votre corps, la souris vos mains. Passé ce temps d'adaptation, on savoure la gameplay : Ici, on a deux modes : Déplacement et analyse. Car par moment, vous devrez vous déplacer, vous coucher pour éviter un game over. Sinon, on regarde, on ouvre, on prend un objet, on combine grâce au panneau à droite de l'écran. A chaque action réalisée, vous gagnez des points. Ici ces points n'ont aucune influence sur le déroulement de l'histoire, mais ils seront utilisés quand vous serez bloqué : Et oui, souvenez vous : 1994....le minitel, la facture explosée à cause du temps que vous passiez à 3615...ULA.....heu non, à chercher la soluce du jeu qui n'était pas encore « en ligne ». Donc vous aurez des indices sur ce que vous devrez faire si vous êtes bloqué consommant les points durement gagnés.. Par contre, sauvegardez souvent. Car comme dans les vieux rpg, si vous mourrez ( et vous allez mourir souvent. ), vous serez accueilli au paradis des détectives, subirez une remarque cinglante mais tintée d'humour et vous serez renvoyé à votre dernière sauvegarde. Et si elle est unique, vous aurez des problèmes car vous aurez peut-être oublié un objet posé sur une rambarde mais à cause des graphismes, vous ne l'aurez pas vu et vous devrez recommencer de zéro car l'objet était complètement à plat sur le décor. Donc sauvegardez très souvent et sur plusieurs fichiers. A part ça, les énigmes sont souvent logiques et rien d'insurmontable.



De plus, vous aurez souvent des dialogues avec choix multiples. Choisissez bien, car si vous faites l'imbécile, cela peut vous conduire au game over.



Point gameplay validé.





Les sons et les musiques :




Les deux viennent soutenir l'ambiance. L'ambiance se veut futuriste, on est au XXIe siècle, ville futuriste avec l'ambiance qui va avec. Pourtant, les musiques donnent un côté vieux polard des années 30. Surtout la musique qui inaugure chaque chapitre de l'aventure. Cela fait mouche et cela facilite l'immersion. Par contre, la capture des sons a mal vieilli. Mais il ne faut pas oublier : C'est du son midi et un montage de presque 20 ans, de l'indulgence !





Point son validé.





Le scénario.




Alors le scénario : Une secte veut purifier génétiquement le monde. Car à l'époque de Tex Murphy, les humains vivent avec des mutants nés à cause de l'état du monde ( pollué bien sûr ). Rien de révolutionnaire, mais l'intrigue est bien construite pour captiver jusqu'à la fin. Mais ce qui fait la force de under the killing moon se sont ses personnages : Tex Murphy, un détective fauché, à l'humour particulier et au physique atypique est le personnage principal de l'histoire. Les personnages qui lui gravitent autour sont tout aussi variés : Les acteurs se sont donnés à cœur joie et 20 ans après, le jeu d'acteur est toujours crédible.

Par contre, Under the killing moon n'est pas le premier épisode de notre détective looser. Avant lui, il a connut deux histoires et dans ce troisième opus, vous aurez donc beaucoup de références aux précédentes affaires ce qui limitera votre compréhension globale de l'histoire, mais là je chipote

Pour précision : Vous arriverez peut être à les trouver : Mais contrairement à cet opus qui est en anglais sous titré en français,«Mean Streets» et «Martian Memorandum» restent en anglais uniquement. Leur gameplay est beaucoup plus rigide ce qui les rend difficiles à jouer ( phases de shoot horribles ) et ils sont en 2D.

Et enfin, la force du jeu c'est son humour particulier, aussi bien venant de Tex que de la voix lors des game over ou des personnages secondaires. Cet humour est l'une des caractéristiques des jeux Tex Murphy.







Point histoire validé.









Conclusion



On a à faire un classique. Troisième épisode de la saga. Le premier à utiliser la technologie CD, des choix multiples, des personnages ayant un humours cinglant, une histoire qui tient la route, Under the killing moon est un classique et à mes yeux l'un des plus grands point et click des années 90.


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10 e test : Hotel Dusk et Last Window sur DS

Article posté le 13/07/12 à 08:43

Bonjour à tous.



Pour ce 10e test, ce n'est pas un mais deux jeux que je vais disséquer. Car même si trois ans séparent le premier du second opus, à mes yeux, pour savourer cette histoire, il faut faire les deux jeux d'une traite. Car dans le second opus, last window, les références à la première affaire, hotel dusk sont nombreuses. J'ai malheureusement attendu, non pas trois mais presque 5 ans entre les deux jeux, delaygamer oblige. Et j'avoue que j'ai du faire de gros efforts de mémoire pour me souvenir à quoi les clin d'oeil de Last Window faisaient référence.




Avec ces deux jeux, on quitte beaucoup le domaine du point et click pour s'approcher du domaine du visual novel.

Non je ne vous insulte pas. Visual novel est un concept qui a du mal à s'installer en Occident. Définissions le :



« Le Visual Novel est une fiction interactive. C'est à dire un jeu vidéo intégralement pensé et réalisé comme un livre. Nous suivons une histoire déterminée avec un début et une fin sans pouvoir nous attarder à droite ou à gauche comme dans les autres jeux vidéo. Le rythme est linéaire et sans coupure. »


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Combien allez vous payer ?




Alors pour Hotel Dusk, on peut le trouver à très bas prix. Pour 6 euros vous obtiendrez votre cartouche. Et pour Last Window, malgré qu'il soit sortit que depuis deux ans, sa côte à bien chuté. Vous le trouverez pour 12 euros. Résumons, deux jeux DS pour moins de 20 euros, sachant que la cartouche neuf se trouve pour 40 euros pièce, 20 euros au lieu de 80 ans. Le delaygamer qui est en vous devrait être comblé !



Point radin validé.





Le jeu : Que vaut-il ?



Les graphismes.




En trois ans, l'évolution graphique est très faible. Ce n'est pas sur ce point que la saga va se démarquer. Notez les deux images ci-dessous. La première est tirée de Hotek Dusk, la seconde de Last Window. Les différences sont faibles. Mais ces deux images vous montrent l'identité visuel de cette saga sur portable : Des personnages en noir et blanc dans un décors en 3D couleur. Cela donne une atmosphère très particulière, type polar des années 30. Ce qui n'est pas pour déplaire. A mes yeux c'est très beau. Le dessin des personnages est sobre sans fioritures avec un design typé mangas. Le personnage principal évoluera dans un environnement en 3D. Et là, c'est plutôt quelconque. Cela n'irrite pas la rétine dans les deux sens. C'est pas moche, mais c'est pas magnifique non plus.



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Bref, point graphisme validé.




Le gameplay







Les deux images, des deux jeux, résument le gameplay. L'écran du haut de la DS vous montrera le décor dans lequel les personnages évoluent, l'écran du bas va servir aux actions que vous pourrez faire. Ici, on se rapproche d'un point et click. Avec votre stylé ou la croix directionnelle vous dirigez votre personnage. Quand vous arriverez à des endroits précis, la loupe se mettra en surbrillance et vous pourrez observer de plus près. Quand vous vous approchez d'un personnage, l'icone correspondant se met à briller etc. Les icônes sont évocateurs, on peut sauvegarder quant à on veut, prendre des notes, lire les résumé des personnes qu'on rencontre : Bref jouer au détective avec un gameplay simple et intuitif. Ici pas de QTE ou de phases d'actions. Non, vos seuls armes sont vos doigts, vos yeux et votre matière grise.



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Point gameplay validé.



Les sons et les musiques :




Correct mais sans plus. A mes yeux, les sons des objets et les musiques d'ambiances se suffisent à elles mêmes. Elles sont bonnes pour vous faire ressentir l'atmosphère particulière de cette saga, mais dès que vous aurez terminé les jeux, vous les oublierez très vite. Un peu dommage comparé à l'histoire.



Point son : Non validé.





Le scénario.




Encore une fois, comme pour beaucoup de point et click, c'est LE point fort des deux jeux. Vous révéler ne serait ce que l'introduction serait un crime. Par contre, vous ressentirez au cour de ces deux jeux de nombreux sentiments. Vous incarnez Kyle Hide, un personnage atypique. Il a un très lourd passé, d'apparence il semble solitaire, misanthrope, renfermé et paresseux. Mais au fur et à mesure du jeu on découvre qu'il est curieux, tenace, insistant et doué pour déterrer le passé des autres. Le tout servit dans une atmosphère particulière : Un mélange de Nostalgie, , de résignation et d'espoir. Par contre, on retrouve ici beaucoup de caractéristiques du visual novel : les deux histoires sont très linéaires. Hormis les énigmes, vous allez lire des dialogues, beaucoup de dialogues. Les histoires se découpent en chapitre et chaque fin se terminent par un questionnaire récapitulatif. Si vous avez mal lu et si vous n'êtes pas concerné par l'histoire vous allez vous ennuyer dans cette phase. Mais les deux scénarios sont retors et possèdent le quelque chose qui fait que vous voudrez en savoir plus car les personnages sont complexes et attachants.

Par contre, les deux jeux sont courts. Comptez moins de huit heures par opus pour les terminer. Mais ça, le joueur de point et click a l'habitude.



Point histoire validé.



Conclusion



En conclusion, hotel dusk et last window sont deux romans interractif. Entendez par là, romans à énigmes style point et click : Ouvrir une porte en silence, faire un puzzle etc...ils sont linéaires et court : Mais grâce au style graphique unique, à l'ambiance crée par les musiques et grâce aux personnages et au scénario, Hotel Dusk et Last Window sont deux petites perles qui vous ferons passer un bon moment dans votre fauteuil.
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Neuvième test : Empereur sur PC

Article posté le 05/07/12 à 16:00

Bonjour à tous.



Ce jeu....va me porter la poisse. Car une personne va certainement se sentir obligé de l'acheter. Lui qui est fan de Caesar 3.....va me détester pour les heures qu'il risque de passer dessus. Sizefac...je l'ai pas fait exprès....quoique...






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Combien allez vous payer ?



Alors, si vous êtes comme moi un radin :


Soit vous êtes proche de vos sous et peu regardant sur l'état du jeu, alors vous payerez entre 3 et 10 euros.

Donc là le point radin est validé.



Par contre, si vous ne regardez pas à la dépense, vous obtiendrez ce jeu en mettant jusqu'à 25 euros. Et là, vous heurtez ma sensibilité de radin.

Et pour un jeu de 10 ans, je dis non, point radin non validé.






Le jeu s'installe-t-il facilement sur mon PC actuel ?




Contrairement à Caesar 3, Empereur c'est une perle. Vous mettez le CD dans le lecteur et vous l'installez sans rien modifier. Pour un jeu qui a 10 ans, c'est assez rare pour le signaler.



Point rétro : Validé.







Le jeu : Que vaut-il ?



Les graphismes.




En dix ans, le jeu a très bien vieilli. Vous pouvez le constater avec les deux images ci-dessous. L'évolution est flagrante : C'est plus beau, plus détaillé. Certes les améliorations sont petites. Mais les bâtiments sont beaux dans Empereur car riches de détails. Et pour le confort des yeux, n'hésitez pas à passer en config 1024 par 768.



Point graphisme validé.




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Le gameplay



Alors pour un fan de Caesar 3, avec Empereur, il va très vite retrouver tout ses repères. Mais surtout, il va apprécier les améliorations que les concepteurs ont apporté.



Pour les fans :



Mis en place d'un barrage routier : On peu désormais cantonner les pnj dans des zones. Et comme chaque pnj qui passe dans un quartier peut contribuer à l'amélioration des maisons c'est un gain immense.



Il n'y a plus de personnage qui vont chercher de la main œuvre. Vous connectez le bâtiment à une route et tant qu'il y a de la main œuvre disponible, le bâtiment fonctionnera.



Par contre, les maisons évoluent différemment que dans Caesar 3. Elles auront d'autres besoins. Ce qui apporte une autre dimension dans la construction de sa ville.


Dans empereur, vous avez deux types de maisons : Celles qui accueilleront le peuple et celles qui vont attirer la Noblesse. Deux gameplay différents car les deux types de populations ont des besoins bien différents.



Comme vous le voyez ci dessous, j'ai mis les deux menus permettant de jouer. Tous les icônes représentent une fonction des bâtiments : Loisirs, religions, armée. Mais au lieu d'avoir un icône qui vous emmène vers le forum, toutes les informations sont désormais notées dans un espace réservé à cet effet. Plus besoin de changer d'écran. C'est du détail mais c'est appréciable.



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A part cela on retrouve tous les éléments déjà présent de Caesar 3. Dans les deux jeux vous avez des objectifs à accomplir pour remporter la mission. Vous commencerez en douceur et au fur et à mesure on vous donnera accès à de nouveaux bâtiments. Le tout à la sauce chinoise. Car ici nous allons jouer avec la civilisation chinoise et tout ce que cela sous entend : Religion, industrie, armée etc...



C'est riche, c'est simple d'accès et la difficulté est progressive : Point gameplay validé.





Les sons et les musiques :




Tout est là pour vous mettre dans l'ambiance : Les sons du quotidien d'une cité en chine, accompagné de musiques superbes. Elles soutiennent l'ambiance et soutiennent votre esprit pendant les longues heures de jeu. Les airs orientaux mettront à rude épreuve les nerfs de ceux qui vous écouteront. Car ce jeu est chronophage à cause de son scénario !



Mais avant d'en parler : Point son validé.






Le scénario.



Contrairement au scénario de Caesar 3 qui se bornait à la description de la ville que alliez construire, Empereur vous emmène dans l'histoire chinoise. A chaque début et fin de missions vous aurez un résumé historique des évènements. Ce qui est très appréciable. Vous aurez souvent le choix entre différent types de missions : Les villes à but commercial, ou à but militaire. Mais là rien de nouveaux.

Avec Empereur, vous construirez des cités depuis la naissance de la chine en tant que civilisation jusqu'au invasions mongols du XIV e siècle. En bref, ce jeu est long surtout si vous ne jouez pas comme moi. ( Je joue en mode très facile. )



Point histoire validé.









Conclusion





Vous aimez construire des villes mais vous en avez assez de sims city ou de Caesar 3, alors foncez sur ce jeu. Il est vieux mais c'est une perle indémodable.


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