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Instant comics: Gotham Central, tome 1

Article posté le 13/06/16 à 19:07

A Gotham City, rien n'est facile. Entre les psychopathes, la misère et les ripoux, c'est un calvaire d'y vivre dans cette ville. Certes, il y a bien Batman pour pencher la balance, mais c'est tout... enfin, presque tout. Car il y a des flics, des bons, des intègres qui essaient de faire leur job correctement dans un lieu malsain. Voici leur histoire.

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Dans ces 250 pages, nous avons droit à trois enquêtes.
La première commence mal. Alors qu'ils suivent une piste peu fiable pour retrouver une jeune disparue du nom de Lewis, les inspecteurs Marcus Driver et Charlie Fields tombent nez à nez avec Mr. Freeze qui tue l'inspecteur Fields. La police décide donc de le coincer sans l'aide de Batman. La seconde continue l'enquête sur la disparition de Lewis, mais Firebug s'incruste dans le jeu. La troisième met en avant Renee Montoya. Un coupable de viol a été arrêté par cette dernière, mais il a été relaxé par la corruption de la ville. Ce dernier, pour se venger, la poursuit en justice et prend des preuves de son homosexualité pour détruire sa vie, car elle fait partie d'une famille très religieuse. Mais quand le salopard se fait assassiner, elle est la première suspecte de la police.

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Le style de dessin est très bien réalisé, il règne une ambiance de polar noir. Les effets d'ombre sont géniaux. Le seul problème est le manque de détail quand les personnages sont en arrière plan; il devient difficile d'identifier le personnage.

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En fait, le problème n'est pas tant le dessin que les personnages. En dehors de la capitaine Maggie Sawyer (vue dans Batwoman) et l'inspectrice Renee Montoya (vue dans Batman TAS et autres), je ne connaissais aucun personnage principal et fichtre, ils sont nombreux.

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Cependant, ce petit détail n'enlève en rien la qualité de l'oeuvre. Tout est bien écrit. On ressent la corruption de la ville qui met des bâtons dans les roues des types. On voit la peine qu'ont les policiers contre les super-vilains. On différencie les personnages par leur personnalité. De plus, ces bons flics se montrent humains, quittes à être maladroit ou à faire une mauvaise action. Evidemment, les stars sont rarement présents, que ce soient les méchants, Batman ou Gordon. Bien sûr, il faut aimer ce genre: il y a très peu de bagarres et beaucoup de dialogues. Si vous n'aimez pas le genre policier, vous allez avoir du mal à apprécier le livre.

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Gotham Central, c'est comme Gotham Academy: on prend l'univers de Batman, mais on s'y intéresse à une partie sous-exploitée en mettant le héros de côté. Très polar noir, ce comics est parfait pour les fans des séries policières.

+ Concept intéressant
+ Très réaliste malgré l'univers en question
+ Ambiance policière respectée
+ Mise en avant de personnages peu connus réussi et bien écrits
+ On ressent la difficulté des policiers
+ Jolis dessins ...
- ... mais très faibles quand ce qu'on doit voir se trouve au deuxième plan ou qu'il est trop petit pour être détaillé
- Dès le début, on a une tonne de personnages inconnus
- Ceux qui n'aiment pas les séries policières risquent de ne pas accrocher.


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Naruto, Clash of Ninja 2 (ou European Version)

Article posté le 11/06/16 à 18:28

La série Naruto est l'une des plus connues au monde. Débutée en 1999 et terminée en 2014, elle racontait l'histoire du jeune ninja Naruto dans sa quête pour devenir Hokage (en fait, il cherche juste le respect des autres). Si des jeux en sont évidemment sortis, il y en a pas mal qui sont restés au Japon pendant un bout de temps avant d'être vendus chez nous.

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Ce jeu Gamecube est sorti au Japon en 2003 et en Europe en 2006, vers la fin de vie de la console (la Wii était à ses débuts et en rupture de stocks). La particularité de ce jeu est qu'il est sorti dans le plus grand des silences: aucun magazine, aucun site n'en avait parlé, il est juste arrivé dans nos rayons sans faire de bruit.

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Il s'agit évidemment d'un jeu de combat. Pour commencer, parlons de la forme: c'est joli, mais sans plus (le jeu est sorti trois ans en retard). Le cell-shading des personnages est excellent, mais les décors sont affreusement vides. Quant à la musique, elle est acceptable, mais loin d'être inoubliable.

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La jouabilité est très simple: le bouton B fait des attaques faibles et le bouton A des attaques puissantes ou du ninjustu (Sasuke peut cracher du feu si on fait avant-A). Les coups changent si on les combine avec une direction. Le bouton Y permet de faire une chope, le X l'attaque ultime quand la barre de chakra est pleine et le bouton L et R permettent, ou de faire un pas de côté, ou de faire une permutation (la fameuse bûche dans le manga) si vous avez la moitié de la barre de chakra remplie. Le bouton Z n'est utilisé que dans les combats à plusieurs, il vous permet de changer de cible. Au final, on comprend très vite le gameplay et on peut s'amuser immédiatement.

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C'est si...passionnant?

Mais ceci apporte un inconvénient majeur, on en fait très vite le tour. Pourtant, il y a des petites subtilités qui permettent de rehausser l'intérêt: Shikamaru ne pare pas tous les coups adverses quand il est supposé les bloquer, il en esquive certains; Lee et Gai peuvent ouvrir les portes, Naruto-Kyubi n'a pas d'animation pendant son attaque spécial ce qui leur rend plus dangereux dans les combats à quatre,... Mais comme je le dis, on maîtrise très rapidement le gameplay.

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Les modes solo du jeu ne sont pas plus intéressant. Le mode histoire va jusqu'au combat contre Gaara, mais il est ennuyant. Entre une syntaxe inintéressant, les oublis de traduction et les fautes d'orthographe, votre volonté va être mise à rude épreuve. Le mode Arcade, Survie et Contre-la-Montre sont classiques. Les Combats en équipe de trois (quand un personnage est K.O., il est remplacé par le second, impossible de le remplacer d'une autre méthode), les combats à quatre ou le versus sont sympas, mais sans plus. Seul le mode Oboro fait dans l'originalité: vous devez vaincre plusieurs adversaires qui vous attaquent en même temps. Vaincus, ils peuvent vous lâcher des objets qui redonnent de la vie, augmentent de votre force, voire de l'argent.

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Si jamais vous vous demandiez lequel est le plus fort entre Akamaru et Crow.

Pourtant, le jeu n'est pas mauvais. Pour commencer, le combat à quatre contre des amis est hilarant. Cela devient un tel foutoir, surtout quand on décide de faire chacun pour soi. On a aussi des handicaps qu'on peut activer avant le combat; certains augmentent la puissance de frappe, d'autres influencent le chakra adverse, etc. De plus, le jeu respecte son sujet. A la sélection des personnages, par exemple, on peut prendre Haku avec ou sans son masque. Sur un terrain spécifique, on peut voir Hinata, cachée, si l'un des deux personnages est Naruto (bien sûr, elle disparaît si elle est l'autre personnage). Les techniques des personnages sont représentes et on a, d'ailleurs, quelques surprises au niveau du casting comme Mizuki (bon, c'est un clone d'Iruka), Akamaru ou Crow, la marionnette de Kankuro.

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La notice est pire.

Au final, Naruto, Clash of Ninja est un bon jeu de baston familial qui montre, malheureusement, ses limites dans le mode solo et dans la complexité de son gameplay. Mais si vous cherchez un jeu qui ne vous prend pas trop la tête pour vous amuser avec votre famille ou des amis, il est parfait pour vous.

+ L'univers respecté
+ 23 personnages dont quelques originaux
+ Le souci du détail au sujet de l'univers
+ Les handicaps pour varier les combats
+ Une jouabilité simple
+ Très fun à plusieurs
+ La forme est correcte...
- mais sans plus
- Ennuyeux seul
- On fait très vite le tour du gameplay
- La traduction approximative par moments




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Instant comics: Gotham Academy, le secret des Cobblepot

Article posté le 04/06/16 à 19:35

Batman a un avantage considérable comparé à Superman: sa ville aussi est un personnage intéressant. Par exemple, Gotham Central parle des policiers tentant de faire la loi dans la ville, ce qui est une bonne idée due à la bat-mythologie, mais si on avait un Metropolis Central, cela aurait moins bien marché (quoique cela éveillera ma curiosité). Ici, nous nous attardons plutôt à l'académie Gotham et particulièrement sur l'élève Olive Silverlock.

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Olive Silverlock, élève albinos de seconde année, doit servir de tuteur pour guider la nouvelle élève Maps Mizoguchi, qui est accessoirement la petite soeur du petit ami d'Olive et une fan incontestée de mystères. Et des mystères, il n'y en a que cela à l'académie de Gotham: entre histoires de fantômes, bâtiments maudits, créatures et professeurs excentriques, l'aventure risque d'être passionnante; surtout qu'Olive a un passif assez torturé, ayant même un lien avec Batman.

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La qualité des dessins est la première chose qui frappe. Les personnages ont un style mélangeant un peu le cartoon et le manga, ce qui, rien que ça, est déjà excellent. Mais le petit plus vient des décors; plus réalistes, ils mettent bien en place l'ambiance, surtout l'obscurité et le mystique des lieux.

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Les personnages sont très bien écrits eux-aussi. Si Batman et quelques autres têtes connues font quelques apparitions, on privilégie les nouveaux venus. Olive est une fille assez froide et perdue suite à un triste événement durant les vacances, mais elle a bon coeur et n'hésite pas à aider les autres. Maps est une petite pile électrique, mais tellement mignonne par ses bizarreries. On trouve aussi le petit ami honnête et joueur de tennis, la rivale gothique-punk (je ne connais pas trop la mode) adepte de la magie noire, le "dealer" avec des lunettes de soleil infra-rouges (ne riez pas, ça aurait sauvé Wesker dans RE5) et d'autres. Ils sont convaincants et collent bien à l'ambiance.

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Evidemment, on se rend très vite compte que le public visé est jeune et il était donc à craindre que l'histoire soit trop enfantin pour intéresser les adultes. Au contraire, si on a bien des sujets parlant plus aux jeunes (les légendes des écoles, le mal-être de l'adolescence, les soucis scolaires,...), ils peuvent intéresser les grands car: les légendes à Gotham ont souvent un fond de vérité, l'auteur ne parle pas que de l'école et le fil rouge de l'histoire est surtout Olive. En fait, le vrai défaut est qu'on a souvent l'impression que le scénario part dans tous les sens, mais pour être exact, les intrigues ne sont là que pour mettre en avant le passé mystérieux de l'héroïne.

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Gotham Academy est la bonne surprise de l'univers Batman. Loin des classiques combats contre des super vilains, on raconte ici les secrets d'une école tout en prenant en compte la mythologie gothamienne, bien retranscrite par l'ambiance sombre qui y règne dans l'académie. A essayer au moins une fois.

+ De l'originalité dans Batman
+ Des dessins qui mettent l'ambiance
+ Des personnages sympathiques, attachants et réalistes (à part Tristan, mais c'est logique pour lui)
+ Surtout Maps
+ Une héroïne convaincante que ce soit pour son passé ou sa personnalité
+ Pour les plus jeunes, mais les auteurs ne les prennent pas pour des idiots et arrivent à rendre intéressant pour les adultes.
+ Des mystères intéressants...
- ... mais qui partent dans tous les sens
- Traumatisés de la scolarité, ce n'est pas pour vous!


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Instant comics: Les patients d'Arkham

Article posté le 26/05/16 à 22:11

Quand on parle de Batman, on pense souvent aussi à ses méchants très charismatiques. Que ce soit le Joker, Double-Face, l'Epouvantail, Poison Ivy,... tout le monde les connait, ne serait-ce que leur nom. Mais qu'en est-il des moins connus? Sont-ils moins mémorables à cause d'un possible manque de potentiel? Après la lecture de ce comics, je dirais que non.

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Warren White, surnommé "le Requin Blanc", est accusé d'escroquerie financière. Pour échapper à une condamnation en prison, il décide de plaider la folie. Le juge est d'abord outré par la corruption des avocats qui réussissent leur défense, mais le juge est futé; à Gotham, mieux vaut être déclaré coupable que fou. Bien que très peu paniqué au début, Warren va très vite comprendre dans quel enfer il s'est retrouvé.

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Le style de dessin est agréable. Il est à la fois simple et réaliste tout en étant, en même temps, coloré et sombre. Le petit plus est, que sur certains patients, le dessin décrit la personnalité du personnage. Le Joker, par exemple, a une tête anormale comparée aux autres.

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La force de ce comics vient surtout de ses personnages principaux qui ne sont pas les classiques. Batman ne fait que deux apparitions, le Joker aussi, Double-Face n'est qu'un personnage secondaire,... alors qu'on s'intéresse plus à Jane Doe (bon sang, il devrait avoir plus d'histoires sur elle), Humpty Dumpty (qui est bien flippant malgré son côté innocent), le Griffonneur,...

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Warren White est bien écrit lui-aussi. Etant un milliardaire arrogant et malhonnête, il se retrouve du mauvais côté de la barrière. Il y a ici une thématique intéressante d'un point de vue politique car, à cause de sa pensée "les impôts, c'est pour les pauvres", l'asile d'Arkham est sous-équipée. Malheureusement pour lui, il est maintenant considéré comme pauvre/fou entre ces murs, chose qu'il aurait pu éviter s'il avait été honnête. Il n'a que trois destins possibles: la fuite, la mort et la folie. On voit l'intérieur de l'asile par son point de vue et son évolution dans ce lieu maudit.

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Pas de vrai défaut. Une erreur de conjugaison sur une page, que cent cinquante pages d'histoire (après, mieux vaut que ça soit court mais bien que long et chiant) et peut-être une deuxième partie qui rentre dans le surnaturel et qui pourrait déplaire à certains- même si je trouve que ça colle vraiment bien avec l'asile et que cela montre la complexité de travailler dans cet établissement.

Au final, Les Patients d'Arkham est un bon récit qui montre l'envers du décor. Criminel odieux, mais sain d'esprit qui se retrouve dans l'asile, on découvre ce qu'il se passe à l'intérieur d'Arkham pendant que Batman s'amuse ailleurs.

+ Un style qui colle bien à l'ambiance
+ L'intérieur d'Arkham, vu par un détenu
+ L'évolution de Warren White
+ Les personnages, en général secondaires, ont le premier rôle
+ Surtout Jane Doe
+ Et Humpty Dumpty
- Un peu court
- Une seconde partie qui tend vers le surréalisme, ce qui peut déplaire à certains



Message édité 1 fois. Dernière édition par Mr. Paradox le 27/05/16 à 11:49.


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Instant Manga: Death Note

Article posté le 11/05/16 à 20:21

Il n'est pas rare que des livres débattent sur des sujets polémiques et quand je dis "livres", je ne parle pas que des romans, mais des BD, des comics, des mangas et autres. Ce qui est rare, en revanche, c'est quand ce n'était pas l'intention de l'auteur. Pourtant, il a bien réussi à soulever quelques bonnes questions sans le vouloir.

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Light Yagami est un étudiant de 17 ans très intelligent qui s'ennuie en classe. Un jour, en regardant par la fenêtre, il voit un cahier tomber du ciel. A la fin des cours, il décide de regarder de plus près. C'est un cahier noir nommé "Death Note" (le cahier de la mort) qui serait capable de provoquer la mort à quelqu'un si on connait le nom et le visage. Ne croyant pourtant pas ce genre d'idiotie, Light l'emmène avec lui et décide de le tester sur des criminels. Grande surprise, ils meurent effectivement. A ce moment vient un Dieu de la Mort, Ryuk, qui avoue être celui qui a laissé tomber le cahier depuis le monde des Dieux de la Mort. Sa raison: il s'ennuyait aussi. Il va donc assister Light dans sa quête de justice. Pendant ce temps, Interpol s'inquiète des nombreux décès inexpliqués des criminels et décide d'appeler L, le meilleur détective du monde, dont personne ne connait sa vraie identité, ni son visage, afin d'arrêter ce meurtrier supérieur que les médias ont appelé Kira.

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Cette série de douze volumes est considéré comme un thriller psychologique et je ne contredis pas ce terme. Si on oublie le cahier magique et les Dieux de la Mort, les actions sont très réalistes. Il n'y aura pas, soudainement, un personnage qui apprend à lire les pensées ou autre. Light et L doivent deviner, par des stratagèmes, qui est l'autre sans que l'autre ne sache qui il est. En fait, contrairement aux shonens classiques, Death Note ressemble plus à une partie d'échecs dont chaque coup est longuement réfléchi. Sans oublier que chaque personnage a sa personnalité et son niveau d'intelligence. Comparé à Light ou à L, Matsuda est plus du genre à faire des gaffes, malgré quelques bons coups.

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Le cahier a plusieurs règles. Si on n'écrit que le nom, cette personne meurt d'une crise cardiaque dans les quarante secondes, mais on peut écrire une mort et un moment plus précis. La mythologie sur ce cahier et les Dieux de la Mort est extrêmement intéressante. Quant aux dessins, ils sont de bonne qualité que ce soit les décors ou les personnages (bien que le dessinateur avoue avoir du mal à dessiner les personnages féminins; elles ne sont pas mal dessinées, mais elles sont moins nombreuses). Les visages et les expressions changent selon les personnages; on différencie facilement un américain et un japonais sans que ce soit caricatural. De plus, il y a un style qui peut devenir très sombre.

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Evidemment avec un sujet comme celui-là, on s'attend à avoir beaucoup de débats. La peine de mort, la justice, la sécurité au détriment de la liberté,... on en a plein. La corruption du pouvoir est d'ailleurs très frappante ici: Light, tout gentil au début, devient de plus en plus sombre, de plus en plus cruel et de plus en plus pragmatique.

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Dans les défauts, on peut citer une baisse de tension à partir du volume 7. Ce n'est pas mauvais, mais on sent que c'est moins intense que le début. Ensuite, on peut aussi se plaindre de l'épilogue, il y a beaucoup de zones d'ombre sur certains personnages, mais elles sont rapidement expliquées dans le volume 13, qui n'est pas un manga à proprement parler, mais plus une récapitulation de toute la série avec des détails supplémentaires.

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En conclusion, ce manga est un classique. Il part d'une idée originale, construit un récit solide et apporte énormément de débats. On peut se plaindre d'une baisse de tension vers la seconde moitié, un épilogue trop rapide, d'une ambiance peut-être trop sombre pour certains, voire le fait que le personnage principal soit aussi le méchant. Mais ces défauts sont plus subjectifs qu'autre chose.

+ Idée original
+ Déroulement réaliste malgré le Death Note
+ Des personnages au caractère différent
+ Un univers réaliste, mais sombre
+ Une seconde lecture intéressante
- Le méchant comme personnage principal peut déplaire
- Epilogue trop vite expédié
- Une deuxième partie moins intense que la première


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